Chapter I

 

CHAPTER I

The Wells of World Hate

Le Puits de la Haine Mondiale

CHAPITRE I

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Peu après l’ascension du Christ, les Juifs se révoltèrent contre l’empire romain.  Cette insurrection fut écrasée avec une impitoyable cruauté par les légions du général Titus.  En l’an 70, une Jérusalem affreusement désolée, remplie de gens morts de faim et de soif, de suicidés, était à moitié détruite.  Le Temple de Salomon, plusieurs fois reconstruit, fut rasé jusqu’au sol.  Ce qu’il contenait de plus précieux, les généalogies complètes des douze tribus de Jacob, essentielles et indispensables à la légitimité du sacerdoce, étaient anéanties par le feu.

Not long after the ascension of Christ, the Jews revolted against the Roman Empire.  This insurrection was crushed with ruthless cruelty by the legions of General Titus.  In the year 70, a horribly desolated Jerusalem, filled with people dead from thirst and hunger, with suicides, was half destroyed.  The Temple of Solomon, many times rebuilt, was razed to the ground.  Its most precious contents, the complete genealogies of the twelve tribes of Jacob, essential and indispensable to the legitimacy of the rite, were annihilated by fire.

Comme le Christ l’avait annoncé plusieurs fois un tiers de siècle auparavant, il ne restait pas pierre sur pierre du Temple antique d’une religion d’institution divine.  C’était la fin des derniers vestiges de l’Ancien Testament.  Avec le Temple disparurent la religion de Moïse, le sacerdoce selon l’ordre d’Aaron, le Saint des Saints, l’autel des sacrifices, le grand-Prêtre, le sanhédrin authentique, les offrandes propitiatoires, les holocaustes de stricte prescription.  D’ailleurs, tout cela était devenu périmé et inutile depuis que le Christ, dont chaque parole est un jugement final et sans appel, avait dit:  “La loi et les prophètes ont prophétisé jusqu’à Jean (le Baptiste)”  (Matt. XI-3.).

As Christ had many times announced a third of a century earlier, there would remain no stone upon stone of the ancient Temple of a religion divine in origin.  It was the end of the last vestige of the Old Testament.  With the Temple were gone the religion of Moses, the rite according to Aaron, the Holy of Holies, the altar of the sacrifices, the High Priest, the authentic Sanhedrin, the propitiatory offerings, the strictly prescribed holocausts.  Moreover, all of it had become outdated and useless since the Christ, whose each word is a final judgment without appeal, had said:  “The law and the prophets have prophesied up to John (the Baptist)” (Matt. XI-3.) 4.

Dieu n’a jamais abandonné les Juifs, puisque c’est à eux d’abord qu’il à offert la plénitude de l’accomplissement des prophéties et de la loi.  Ils n’en ont pas voulu et l’ont rejeté.  Ainsi le tort ne peut être du côté de Dieu, qui est toujours prêt à pardonner, à accueillir et qui attend.  Comme écrit saint Paul:  “Les dons de Dieu sont sans repentance”.  Ils le sont non seulement pour les Juifs mais pour tous les autres humains qui s’éloignent de Lui, même … les chrétiens.  Car la

God has never abandoned the Jews, as it is to them first that He offered the plenitude of the accomplishment of the prophecies and the law.  They wanted none of it and rejected it.  Thus the wrong cannot be on the side of God, who is always ready to pardon, to welcome; and who waits.  As Saint Paul wrote:  “The gifts of God cannot be renounced”.  They are thus not only for the Jews but also for all those other humans who draw away from Him, even … Christians.  Because

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Justice divine est aussi sans repentance et égale pour tous, puisque même le baptême et l’ordination, qui sont éternels et sans repentance sous la Nouvelle Alliance, n’empêchent pas la damnation de ceux qui la méritent.

divine Justice also cannot be renounced and is equal for all — like Baptism and Ordination, which are eternal and irreversible under the New Covenant — and do not prevent the damnation of those who deserve it.

Ce qui porta les Juifs à rejeter le messie Jésus-Christ, “celui sans qui nulle créature ne peut connaître le Père ni parvenir à Lui”, (Math. XI-27) fut la haine des pharisiens et leur influence sur le peuple juif.  Jéhovah avait promis à Abraham le Chaldéen, premier des Juifs par la circoncision, que SA descendance se multiplierait comme les sables du désert, régnerait sur toute la terre, qu’elle verrait tous les rois du monde s’incliner devant elle et tous les peuples la servir.  Le Christ avait dit et prouvé que cette descendance d’Abraham devant régner éternellement sur tout et sur tous était Lui, fils unique du Père, non créé mais engendré parle Père, connu jusqu’alors sous le nom de Iâvé, Jéhovah, Sabbaoth, etc.  C’était, d’après les paroles du Christ, en cette fin des temps de l’Ancien Testament, l’oméga ou la fin de toute Révélation divine, l’explication de l’alpha, ou commencement, la toute première appellation de la vraie Divinité qui se trouve au premier début de la Genèse:  Elohim (Lui-Ils, Lui-Eux, Lui-plusieurs, Lui-les-Dieux), c’est-à-dire la pluralité des personnes en un seul et même Dieu.  Mais les Pharisiens qui haïssaient le Christ plus que tout autre objet de haine, ne voulurent pas croire en Son enseignement.  Le Christ avait dit qu’il était le Messie et le sauveur de tous les hommes.  Les Pharisiens espéraient et voulaient un Messie seulement et uniquement pour les Juifs.  Pour ces Pharisiens, LA descendance d’Abraham voulait dire:  “les Juifs” et non

What brought the Jews to reject the Messiah, Jesus Christ, “he without whom no creature can know the Father nor come to Him” (Matt. XI-27) was the hate of the Pharisees and their influence on the Jewish people.  Jehovah had promised to Abraham the Chaldean, the first of the Jews by circumcision, that HIS descendants would multiply like the sands of the desert, would rule over the whole earth, that they would see the kings of the whole earth bow before them and all the peoples serve them.  The Christ had said and proven that these descendants of Abraham were to reign eternally over all, and above all was He, the only Son of the Father, not created but engendered by the Father, ever after known by the name of Yhvh, Jehovah, Sabbaoth, etc.  It was, according to the words of Christ, during this end of the Old Testament times, the Omega or the end of all divine Revelation, the explication of the Alpha, or beginning, the very first name of the true Divinity which is found at the very beginning of Genesis:  Elohim (He-They, He-Them, He-Many, He-the-Gods), meaning, the plurality of persons in one and the same God.  But the Pharisees who hated the Christ more than any other object of hate, did not wish to believe in His teaching.  The Christ had said that he was the Messiah and the Savior of all men.  The Pharisees hoped for and wanted a Messiah only and solely for the Jews.  For these Pharisees, THE descendants of Abraham meant:  “the Jews” and not

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pas “tous les hommes”, héritiers du péché originel, qui avaient besoin de rédemption et espéraient, comme les patriarches et les prophètes, en un Sauveur “pour tous”.  Pour les Pharisiens d’alors, comme pour leurs successeurs les rabbins d’aujourd’hui, le Messie ne doit venir et n’être que pour les Juifs, seuls héritiers “par le sang” (racisme) des promesses faites à Abraham.

“all men”, heirs of Original Sin, who had need of redemption and who, like the patriarchs and the prophets, expected a Savior “for all”.  For the Pharisees of the time, as for their successors the rabbis of today, the Messiah must come and be only for the Jews, the sole heirs “by blood” (racism) of the promises made to Abraham.

Si, avec la Nouvelle Alliance, le Christ est venu comme Messie de TOUS les hommes et non seulement des Juifs, il faut admettre que l’Ancienne Alliance, faite pour un seul peuple et un seul temps, est révolue, finie, achevée, complétée, et il faut aussi conclure que le Nouveau Testament est le seul valable pour toute l’humanité.  C’est bien ce que saint Paul a enseigné, que … avec la venue du Christ, il n’y a plus de juifs ou grecs ou gentils, mais uniquement des âmes de tous les peuple et toutes nations à rédimer en Lui.  Cela, les Pharisiens n’ont jamais voulu l’admettre.  Pour eux, le Messie ne devait être qu’un Messie des Juifs, et d’aucun autre peuple; sans quoi, les Juifs perdaient leur élection comme seuls héritiers des promesses faites à Abraham, ancêtre de Jésus.  Si les Juifs admettaient que les promesses de Jéhovah à Abraham s’appliquent à Jésus plutôt qu’au peuple juif, alors ils seraient obligés en toute conscience de se faire chrétiens.  En même temps, ils seraient obligés d’admettre l’Elohim du début du Pentateuque, la pluralité des personnes en un seul Dieu, la fin de l’élection divine de ce qui reste du peuple hébreu, la rédemption et l’élection de TOUS ceux (de tous les peuples connus ou à connaître) qui reconnaîtraient le messianisme rédempteur de Jésus-Christ, “qui a reçu son humaine

If, with the New Covenant, Christ came as the Messiah of ALL men and not only of the Jews, it must be admitted that the Old Covenant, made for one people and one era, has been revolutionized, finished, achieved, completed, and it must be concluded that the New Testament alone is valid for all humanity.  This is precisely what Saint Paul taught, that … with the coming of Christ, there are no longer Jews or Greeks or Gentiles, but only the souls of all peoples and all nations to be redeemed in Him.  This, the Pharisees have never wanted to admit.  For them, the Messiah must be only the Messiah of the Jews, and of no other people; without which, the Jews would lose their election as the sole heirs of the promises made to Abraham, the ancestor of Jesus.  If the Jews admitted that the promises of Jehovah to Abraham applied to Jesus rather than to the Jewish people, then they would be obliged in all conscience to become Christians.  At the same time, they would be obliged to acknowledge the Elohim at the beginning of the Pentateuch, the plurality of persons in just one God, the end of the divine election of what remains of the Hebrew people, the redemption and election of all those (all peoples known or to be known) who acknowledge the redemptive messianism of Jesus Christ, “who received his human

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nature d’un peuple qui devait le crucifier” (Pie XI, 13 avril 1936).

“nature from a people which was to crucify him” (Pius XI, 13 April 1936).

Déchristianisation des Écoles d’Amérique

Dechristianization of the Schools of America

Au printemps de 1963, pour répondre à une réaction nationale violemment hostile au jugement de la Cour Suprême [1] dans la cause “Regents Prayer”, 25 juin 1962, la secte pharisaïque-rabbinique se sentit le besoin de publier un manifeste intitulé “Croyances à l’école”, sous l’autorité d’une organisation appelée “Comité aviseur conjoint du Conseil des synagogues d’Amérique et du Conseil aviseur des relations communautaires nationales”.  Cette organisation se disait chargée de parler au nom des organisations suivantes:  Congrès juif américain, Conférence centrale des rabbins américains, Comité travailliste juif, Vétérans juifs des États-unis, Assemblée rabbinique d’Amérique, Union des congrégations hébraïques d’amérique, Union des congrégations juives orthodoxes d’Amérique, Synagogue unie d’Amérique et tous les Conseils communautaires juifs du pays.  A l’article 2 du manifeste incontestablement officiel, on peut lire “Depuis les temps les plus reculés cette prière (le “Notre Père”) a fait partie intrinsèque du culte chrétien, intimement associé à Jésus.  Nos rabbins ont unanimement et uniformément maintenu que la récitation du Notre Père par des enfants juifs est incompatible avec la tradition Juive et viole les principes du Judaïsme”.

In the Spring of 1963, to answer a violently hostile national reaction to the judgment of the Supreme Court [1] in the “Regents Prayer” case on 25 June 1962, the pharisaic-rabbinic sect felt the need to publish a manifesto entitled “Beliefs at School”, on the authority of an organization called the “Joint Advisory Committee of the Council of Synagogues of America and of the Advisory Council on National Communal Relations”.  This organization claimed to be charged with speaking in the name of the following organizations:  American Jewish Congress, Central Conference of American Rabbis, Jewish Workers’ Committee, Jewish Veterans of the USA, Rabbinic Assembly of America, Union of Hebrew Congregations of America, Union of Jewish Orthodox Congregations of America, United Synagogue of America and all the Jewish communal advisory councils of the country.  At Article 2 of the manifesto, undeniably official, one can read “From the earliest times, this prayer (the ‘Our Father’) has been an intrinsic part of the Christian cult, intimately associated with Jesus.  Our rabbis have unanimously and uniformly maintained that the recitation of the Our Father by Jewish children is incompatible with Jewish tradition and violates the principles of Judaism”.

Lorsque l’on cherche, dans le Notre Père, ce qui peut violer les principes du judaïsme, on n’y peut trouver qu’une seule demi-phrase:  “… pardonnez-nous nos offences comme nous pardonnons à ceux qui

In looking at the Our Father to see what might violate the principles of Judaism, one finds a mere half-sentence:  “… forgive us our sins as we forgive those who

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[1]  La Cour Suprême des États-Unis (AAB)

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[1]  The United States’ Supreme Court (AAB)

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nous ont offensés”.  C’est la condamnation de la loi du talion, la loi d’œil pour œil, la loi de vengeance dont l’Homme-Dieu Lui-même annonça la fin et son remplacement par “la loi nouvelle” du pardon à l’ennemi personnel.  Néanmoins, parce que le pharisaïsme rabbinique réprouve le “Notre Père”, il faut que la colossale majorité chrétienne du continent américain abandonne dans les écoles de ses enfants la seule prière enseignée par Dieu Lui-même aux hommes.  Et cela, au nom de la tolérance, de la bonne entente, de la fraternité judéo-chrétienne.  Pour avoir la paix dans le monde chrétien, il faut que les chrétiens apostasient partout en-dehors de leurs temples !  Les Juifs crient partout, interminablement, qu’il faut respecter la démocratie.  On avait toujours cru que la démocratie était la loi, la volonté de la majorité.  Mais on s’était trompé.  On réalise que c’est la loi, la volonté de la minorité juive.  La prière du pardon des offenses doit disparaître, dans les écoles publiques des pays chrétiens … parce qu’elle viole les principes du Judaïsme.  Les Juifs le veulent, il faut obéir.  Après tout, qui est le maître “chez soi” ?

sinned against us”.  This is the repudiation of the “lex talionis” (the law of “an eye for an eye”), the law of revenge whose end and replacement by “the new law” of pardon of the personal enemy was announced by the Man-God Himself.  Nevertheless, because rabbinic pharisaism censures the “Our Father”, the colossal Christian majority on the American continent must abandon, in their children’s schools, the only prayer taught to man by God Himself.  And this, in the name of tolerance, good relations, and Judeo-Christian fellowship.  To have peace in the Christian world, Christians everywhere must renounce their faith outside of their temples!  Jews cry everywhere, interminably, that democracy must be respected.  It had always been believed that democracy was the law, the wish of the majority.  But we were wrong.  We realize that it is the law, the wish of the Jewish minority.  The prayer of pardon of sins must vanish in the public schools in Christian countries … because it violates the principles of Judaism.  The Jews wish it, and must be obeyed.  After all, who is master “in our house”?

Les Juifs étaient dans l’impossibilité totale de pratiquer la religion de Moïse, détruite pour toujours par les armées païennes de la Rome impériale.  D’ailleurs, cette religion n’avait plus aucune utilité puisque le Christ en avait réalisé toutes les prophéties, avait établi une Alliance nouvelle et éternelle et avait, de son autorité divine, remplacé la loi du talion par la loi du pardon, promulgué les préceptes du Sermon sur la Montagne.

It was impossible for the Jews to practice the religion of Moses, destroyed forever by the pagan armies of imperial Rome.  Moreover, this religion was of no further use because Christ had fulfilled all the prophecies, had established a New (and eternal) Covenant, and had, on His divine authority, replaced the law of revenge with the law of pardon, and promulgated the precepts of the Sermon on the Mount.

N’ayant plus de sacerdoce et de religion réelle, ils se livrèrent à une secte, celle des Pharisiens, celle du Judaïsme.  Les Pharisiens d’il y a deux mille ans

Having no more rite or real religion, they turned to a sect, that of the Pharisees:  Judaism.  The Pharisees of 2,000 years ago

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avaient un enseignement bien particulier qu’on appelait “la tradition des Pharisiens“.  C’était une déspiritualisation, une matérialisation des Saints Livres interprétés à leur façon.  Cette tradition, propagée par l’enseignement oral, avait été élaborée au contact des païens lors de la captivité des Juifs à Babylone.

had a quite particular teaching called the “Pharisaic tradition”.  It was a despiritualization, a materialization of the Holy Books interpreted after their own fashion.  This tradition, propagated by oral teaching, had been elaborated in contact with the pagans during the Jewish captivity in Babylon.

Tout au long des Evangiles, on voit les Pharisiens s’acharner contre le Sauveur des hommes, “voulant le prendre en défaut”, “cherchant à lui tendre un piège”, devisant de “moyens de le mettre à mort”, “soulevant le peuple contre lui”, etc.

Throughout the Gospels, one sees the Pharisees set against the Savior of men, “wishing to find fault with him”, “looking to set a trap for him”, devising “means to put him to death”, “arousing the people against him”, etc.

De tout ce qui a passé sur terre, Jésus fut le plus humble, le plus doux, et le plus patient des êtres.  Mais lorsqu’il entend les Pharisiens et les voit à l’œuvre, il abandonne toute douceur et toute patience, il fulmine contre eux des jugements divins d’une sévérité inouïe et que seule son autorité de Verbe de Dieu peut justifier.  Dans S. Matthieu XXIII,[1] on ne peut lire sans frémir ces terribles imprécations contre les fils de la géhenne :  (“serpents, race de vipères, hypocrites, menteurs, fornicateurs, dévoreurs des biens des veuves”, etc).

Notwithstanding events on Earth, Jesus was the humblest, most mild, and most patient of beings.  But when he heard the Pharisees and saw them at work, he abandoned all clemency and patience, he railed divine judgments against them of unheard-of severity that only his authority as the Word of God can justify.  In Saint Matthew XXIII,[1] one cannot read these terrible imprecations against the “sons of Hell” without trembling:  (“serpents, race of vipers, hypocrites, liars, fornicators, devourers of the property of widows”, etc.)

Or, après deux mille ans, c’est ce même Pharisaïsme maudit par le Christ qui est à la base de la secte judaïque d’aujourd’hui.  Par centaines, les historiens juifs de cette secte sont unanimes à le confirmer.  Le plus récent d’entre eux est le rabbin Louis Finklestein, chancelier et professeur de théologie au “Séminaire théologique juif d’Amérique”.  Il a publié un livre qui fait autorité parmi les Juifs:  “Les Pharisiens, le fondement sociologique de leur foi” (The Pharisees, the Sociological Background of their Faith).  Dans l’avant-propos de la première édition, page XXI, voici ce qu’il écrit :

Now, after two thousand years, this same Pharisaism cursed by Christ is at the basis of the Jewish sect of today.  By the hundreds, Jewish historians of this sect are unanimous in confirming it:  the most recent among them is the rabbi, Louis Finklestein, chancellor and professor of theology at the “Jewish theological seminary of America”.  He published a book which is authoritative among the Jews:  “The Pharisees, the Sociological Background of their Faith”.  In the Foreword to the first edition, page XXI, here is what he writes:

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[1]  “O génération de vipères, comment pouvez-vous, étant mauvais, parler de bonnes choses? car, de l’abondance du coeur, la bouche parle »Matthieu XII: 34; “Serpents, génération de vipères, comment pouvez-vous échapper à la damnation de l’enfer?” Matthieu XXIII: 33; “Mais quand il vit venir à son baptême beaucoup de pharisiens et de sadducéens, il leur dit: O génération de vipères, qui vous a avertis de fuir la colère à venir?” Matthieu III: 7. (AAB)

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[1]  “O generation of vipers, how can ye, being evil, speak good things?  for out of the abundance of the heart the mouth speaketh.”  Matthew XII:34; “Ye serpents, ye generation of vipers, how can ye escape the damnation of hell?”  Matthew XXIII:33; “But when he saw many of the Pharisees and Sadducees come to his baptism, he said unto them, O generation of vipers, who hath warned you to flee from the wrath to come?”  Matthew III:7.  (AAB)

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“La propagation d’un pharisaïsme modifié jusqu’aux confins de la terre n’a pas, heureusement, modifié la persistance à travers les siècles d’une foi inchangée dans le Judaïsme rabbinique.  Le Pharisaïsme devint le Talmudisme, le Talmudisme devint le Rabbinisme du moyen-âge, et le Rabbinisme du moyen-âge devint le Rabbinisme moderne, mais à travers tous ces changements de nom, inévitable adaptation de la coutume et ajustement à la loi, l’esprit des Pharisiens antiques a survécu sans adultération.  Lorsque le Juif récite ses prières, il répète des formules préparées par les scoliastes pré-macchabéens ; lorsqu’il se revêt de la mante prescrite pour le Jour du Pardon et la veille de la Pâque, il porte le vêtement festival de la Jérusalem antique ; quand il étudie le Talmud, il ne fait que répéter les arguments employés dans les académies palestiniennes”.

“The propagation of a modified Pharisaism to the limits of the Earth has not, happily, modified the persistence over the centuries of a faith unchanged in rabbinic Judaism.  Pharisaism became Talmudism, Talmudism became the Rabbinicalism of the Middle Ages, and the Rabbinicalism of the Middle Ages became modern Rabbinicalism, but throughout all these changes of name, inevitable adaptation of custom and adjustment to the law, the spirit of the ancient Pharisees has survived unadulterated.  When the Jew recites his prayers, he repeats formulas prepared by the pre-Maccabean scholars; when he dons the shawl prescribed for the Day of Atonement and the eve of Passover, he wears the festive costume of ancient Jerusalem; when he studies the Talmud, he does no more than to repeat the arguments uttered by the Palestinian academies.”

En 1947 fut tenu, en l’hôtel New Yorker, de New York, un grand congrès des Rabbins nord-américains, en vue de deviser des moyens d’éliminer l’enseignement religieux et les prières des écoles publiques de notre continent.  Des non-juifs enregistrèrent sur bande magnétique tous les discours des rabbins.  J’ai eu le privilège, comme d’autres dans presque tous les pays, d’en entendre la sinistre éloquence et d’en lire la transcription.  Ce qu’on a parlé contre le christianisme, au nom de “la séparation de l’Église et de l’État”, et des “droits de l’homme” !  La phrase qui m’a le plus frappé fut celle d’un grand Rabbin de Philadelphie qui criait :  “Il faut à tout prix éliminer surtout la récitation du “Notre Père” (Lord’s prayer) dans les écoles publiques, parce que cette prière est l’invention du plus grand ennemi des Pharisiens et que nous, Rab-

In 1947, a great conference of North-American rabbis was held at the New Yorker hotel in New York to devise ways to eliminate religious teaching and prayers from the public schools of our continent.  Non-Jews tape-recorded the discussions of the rabbis.  I had the privilege, as did others in most every other country, of hearing the sinister eloquence and of reading the transcript.  What was said against Christianity, in the name of “separation of Church and State”, and of the “rights of man”!  The statement that struck me most was that of a great Rabbi from Philadelphia, who cried:  “Above all, at all costs, recitation of the “Our Father” (the Lord’s prayer) in public schools must be eliminated because this prayer is the invention of the greatest enemy of the Pharisees, and we, the Rab-

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bins, sommes les successeurs des pharisiens en ligne directe, sans discontinuité ni hiatus ni césure”.  Après ce congrès, le rabbin Abraham Feinberg (sujet américain), de la synagogue Holy Blossom, la plus importante de Toronto, demanda l’élimination de tout enseignement religieux dans les écoles publiques d’Ontario.  Nos frères, les protestants baptisés de cette province, eurent le courage très chrétien de rabrouer ce Rabbin, qu’une récente propagande anglaise a appelé “le Rabbin rouge” (The Red Rabbi) à cause de ses affinités et dévouements à diverses causes inaugurées et soutenues par la propagande communiste.

bis, are the successors of the Pharisees in a direct unbroken line without hiatus or interruption”.  Following this conference, the rabbi Abraham Feinberg (an American subject), from Holy Blossom synagogue, the biggest in Toronto, demanded the elimination of all religious instruction in the public schools of Ontario.  Our brothers, the baptized Protestants of that province, had the very Christian courage to rebuff this Rabbi, whom recent propaganda in English has called “The Red Rabbi” due to his affinities with and devotion to various causes inaugurated and supported by communist propaganda.

C’est en vertu des préceptes pharisaïques du judaisme et par la puissance de pression politique des Juifs que toute trace de religion (surtout chrétienne) a été éliminée par un jugement de la Cour Suprême de Washington, jugement contredisant des décisions antérieures de la même Cour déclarant que l’union américaine est d’origine et d’essence chrétienne.  Quand le jugement fut rendu, à la requête de quatre demandeurs juifs et un demandeur unitairien (l’unitairianisme proclame un Dieu en une seule personne et nie la divinité du Christ), TOUTES les grandes organisations civiles et religieuses juives des Etats-Unis étaient intervenues à titre de amici curiae (amis de la Cour) pour soutenir cette expulsion de Dieu (surtout du Christ) et de la religion dans les écoles publiques de nos voisins du sud.

In virtue of these Pharisaic precepts of Judaism and through the power of political pressure of the Jews, all trace of religion (above all, Christian) has been eliminated by a judgment of the Supreme Court at Washington, a judgment contradicting prior decisions of the same Court declaring that the American Union is Christian in origin and essence.  When the judgment was rendered, at the request of four Jewish applicants and one Unitarian (Unitarianism proclaims a non-Trinitarian God and denies the divinity of Christ), ALL the great Jewish civil and religious organizations of the United States intervened as amici curiae (friends of the Court) to support this expulsion of God (above all, of Christ) and of religion from the public schools of our neighbours to the south.

Avec presque tous les historiens juifs, le rabbin Finklestein, recteur et professeur de séminaire théologique juif, écrit que depuis deux mille ans les Juifs ont étés gouvernés par une seule et même chose qui a porté les noms de pharisaïsme, talmudisme et rabbi-

With nearly all the Jewish historians, Rabbi Finklestein, rector and professor of a Jewish theological seminary, wrote that for two thousand years, the Jews have been governed by one and the same thing which has gone by the names of Pharisaism, Talmudism and Rabbi-

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nisme.  Les auteurs juifs officiels sont plus unanimes encore pour nous dire que, depuis deux mille ans, la secte judaïque a été régie par le Talmud.

nicalism.  The official Jewish authors are more unanimous again in telling us that for two thousand years, the Jewish sect has been ruled by the Talmud.

Qu’est-ce que le Talmud ?  C’est un ouvrage monumental de quelque soixante-trois livres réglementant toutes les circonstances imaginables de la vie religieuse et civile des Juifs.  On peut maintenant s’en procurer des éditions anglaises à Soncino Press, Londres, Angleterre.

What is the Talmud?  It is a monumental work of some sixty-three books regulating every imaginable circumstance of the religious and civil life of the Jews.  Copies can now be had in English from Soncino Press in London, England.

Le Talmud est, pour le judaïsme pharisaïque des vingt derniers siècles, l’interprétation et la codification pratique des livres de la Torah (Ancien Testament).  C’est “la tradition des Pharisiens” mise par écrit au cours de cinq siècles, l’ensemble des commentaires, des décisions, des recommandations, bref de la jurisprudence des Pharisiens et Rabbins.

The Talmud is, for the Pharisaic Judaism of the last twenty centuries, the interpretation and the practical codification of the books of the Torah (Old Testament).  It is the “tradition of the Pharisees” reduced to writing over the course of five centuries, together with the commentaries, decisions, recommendations, in short, the jurisprudence of the Pharisees and Rabbis.

Il faut admettre qu’il y a dans le Talmud des pages de sagesse et de beauté.  Mais par contre, il y a des centaines de pages d’une déconcertante vulgarité, de bassesse dégradante, de haine incompréhensible, de blasphème et de lèse-divinité, d’orgueil racial sans borne et d’intolérance fanatique.  Les idolâtres y sont voués à toutes les condamnations, surtout les pires idolâtres chrétiens qui adorent l’Eucharistie; et Jésus le Nazaréen, objet de cette adoration, est proclamé imposteur, blasphémateur, enfant illégitime, fils d’une prostituée et d’un soldat grec (comme dans le Sepher Toldoth Jeshova, Livre de la vie de Jésus), digne de cinq supplices infamants.

It must be admitted that in the pages of the Talmud there is wisdom and beauty.  But, on the other hand, there are hundreds of pages of a disconcerting vulgarity, of degrading sordidness, of incomprehensible hatred, of blasphemy and religious insults, racial superiority and fanatical intolerance.  In its pages, idolaters are doomed to every condemnation, above all the worst:  the Christian idolaters who adore the Eucharist.  And Jesus of Nazareth, the object of this adoration, is proclaimed an impostor, a blasphemer, the illegitimate son of a prostitute and a Greek soldier (as in the Sepher Toldoth Jeshova, the book on the life of Jesus), deserving of five infamous death sentences.

Pendant près de dix siècles, Papes et Empereurs, Rois et Evêques, Princes et Juges ont fait brûler sur place publique les livres du Talmud partout à travers l’Europe, tout en protégeant et vénérant les livres saints de l’Ancien Testament considérés d’inspiration

For nearly ten centuries, Popes and Emperors, Kings and Bishops, Princes and Judges have burned the books of the Talmud on the public square across Europe, while protecting and venerating the holy books of the Old Testament considered divine in inspiration.

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divine.  Le Talmud fut toujours, à cause de son texte, considéré comme d’inspiration humaine haineuse, vindicative, méchante et vicieuse.  Quand un livre qui se proclame “religieux” ose affirmer que tous les êtres humains qui ne sont pas juifs sont des animaux sans âme, que leur vie et leurs biens sont (à cause de leur animalité) à la merci du peuple-élu de l’Ancienne Alliance, — et cela dans des pays non-juifs — il n’est pas étonnant que les Juifs talmudistes aient été pris à partie.

The Talmud, because of its text, was always considered as human-inspired hatred; vindictive, wicked and vicious.  When a book which calls itself “religious” dares to affirm that all human beings who are not Jews are animals without a soul, that their life and their property are (because of their animality) at the mercy of the chosen people of the Old Covenant — and this in non-Jewish countries — it is not surprising that the Jewish Talmudists have been singled out.

C’est par milliers qu’ont été écrits les bulles papales, les décrets impériaux et royaux, les édits épiscopaux et princiers, les livres et commentaires, les rapports de débats nombreux, les livres et traités concernant le Talmud.  Il est impossible, dans ce petit manuel de poche, d’en citer même la bibliographie entière qui couvrirait toutes les pages.  Je me contenterai de citer quelques auteurs, non du moyen-âge mais de notre époque contemporaine, concernant ce Talmud, “catéchisme” réel du judaïsme pharisaïque d’aujourd’hui.

There have been thousands of Papal bulls written, royal and imperial decrees, Episcopal and princely edicts, books and commentaries, numerous reports of debates, books and treatises concerning the Talmud.  It is impossible, in this little reference book, to cite even a whole bibliography, which would take up all its pages.  I must content myself with citing a few authors, not of the Middle Ages but of our own contemporary era, concerning this Talmud, the true “catechism” of Pharisaic Judaism today.

Le Rabbin Drach

Rabbi Drach

Quelques années après sa conversion au christianisme, l’eminent rabbin Drach écrivit une forte étude intitulée De l’Harmonie entre l’Église et la Synagogue.  Voici ce que cet impartial spécialiste écrit au tome 1 pages 121-2,166-8, sur le Talmud :

A few years after his conversion to Christianity, the eminent Rabbi Drach penned a powerful study entitled On the Harmony Between Church and Synagogue.  Here is what this impartial specialist wrote in volume I, pages 121-2, 166-8, on the Talmud:

“Nous qui, par état, avons longtemps enseigné le Talmud et expliqué sa doctrine après en avoir suivi un cours spécial, pendant de longues années, sous les docteurs israélites les plus renommés de ce siècle, nous qui avons, par la grâce d’en haut, abjuré les faux dogmes qu’il prêche, nous

“We, who by virtue of our status, have long taught the Talmud and explicated its doctrine after following a special course for many long years under the most renowned Israelite doctors of this century; we who have, by grace from on high, recanted the false dogmas it preaches, we

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en parlerons avec connaissance de cause et impartialité.  Si, d’une part, nous lui avons consacré nos plus belles années, d’autre part il ne nous est plus rien.  Nous dirons ce qui le recommande, ce qui le condamne …

speak of it with awareness and impartiality.  If, on one hand, we have devoted our best years to it, on the other hand it is nothing to us any more.  We will say what it recommends, what it condemns …

“Or, dans la Ghemara, il y a au moins cent passages qui attaquent la mémoire de notre adorable Sauveur, la pureté plus qu’angélique de sa divine mère, l’immaculée reine du Ciel, ainsi que le caractère moral des chrétiens, que le Talmud représente comme adonnés aux crimes les plus abominables.  On y trouve des passages qui déclarent que les préceptes de justice, d’équité, de charité envers le prochain, non seulement ne sont pas applicables à l’égard du chrétien, mais font un crime à celui qui agirait autrement.  Le Talmud défend expressément de sauver de la mort un non juif, de lui rendre les effets perdus, etc, d’en avoir pitié.  Traité Aboda-Zara, fol.13, verso; fol.20, recto; traité Baba-Kamma, fol.29, verso.  Les Rabbins disent encore:  “Puisque la vie de l’idolâtre est à la discrétion du juif, à plus forte raison son bien.”

“Now, in the Gemara, there are at least a hundred passages which attack the memory of our adorable Savior, the most angelic purity of his divine mother, the immaculate Queen of Heaven, as well as the moral character of Christians, whom the Talmud represents as inclined to the most abominable crimes.  Passages are found which declare that the precepts of justice, equity, and charity towards one’s neighbor, not only are not applicable to the Christian, but constitute a crime for whoever would act otherwise.  The Talmud expressly forbids saving a non-Jew from death, returning his lost effects, etc., or having pity on him.  The treatise Aboda-Zara, fol.13, verso; fol.20, recto; the treatise Baba-Kamma, fol.29, verso.  The Rabbis also say:  “Since the life of the idolater is at the discretion of the Jew, all the more reason his property.

“Dans la Mischna, on rencontre à peine quatre ou cinq de ces passages impies, haineux, atrocement intolérants ; encore y garde-t-on une certaine mesure dans les expressions.  Voici, la cause de cette réserve :  dans l’édition du Talmud que Froben, imprimeur de Bâle, exécuta en 1581, les censeurs Marcus Marinus, Italus Brixiensis, Pétrus Cavallerius supprimèrent les principaux passages que nous venons de signaler, ainsi que le traité entier Aboda-Zara  (De l’idolâtrie).  Mais quelque temps après, les Juifs rétablirent, dans

“In the Mishna, one encounters barely four or five of these impious, hateful, and atrociously intolerant passages, and the expressions are still measured to a certain degree.  Here is the cause of this reserve:  in the edition of the Talmud that Froben, a printer of Basle, produced in 1581, the censors Marcus Marinus, Italus Brixiensis and Pétrus Cavallerius suppressed the main passages which we have just mentioned, as well as the whole treatise, Aboda-Zara (Of Idolatry).  But some time after, the Jews re-established

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une édition qu’ils publièrent à Cracovie, toutes les suppressions opérées à Bâle.  Toutefois, ces passages réintégrés ayant soulevé l’indignation des hébraïsants chrétiens, le Synode juif, réuni en Pologne en 1631, en prescrivit le retranchement dans les éditions qui devaient se faire subséquemment, par son encyclique hébraïque dont nous transcrirons le passage suivant :

all the suppressions effected at Basle in an edition which they published at Kracow.  Nevertheless, these reinstated passages having aroused the indignation of the Christian Hebraists, the Jewish Synod, meeting in Poland in 1631, prescribed their removal in future editions, by its Hebrew encyclical, of which we shall transcribe the following passage:

“… C’est pourquoi nous vous enjoignons, sous peine d’excommunication majeure, de ne rien imprimer dans les éditions à venir soit, de la Michna, soit de la Ghemara, qui ait rapport en bien ou en mal aux actes de Jésus le Nazaréen … Nous vous vous enjoignons en conséquence, de laisser en blanc, dans ces éditions, les endroits qui ont trait à Jésus le Nazaréen, et de mettre à la place un cercle comme celui-ci — O –, qui avertira, les rabbins et les maîtres d’école d’enseigner à la jeunesse ces endroits de vive voix seulement.  Au moyen de cette précaution, les savants d’entre les Nazaréens (chrétiens) n’auront plus de prétextes de nous attaquer à ce sujet.”

“… That is why we enjoin you, under penalty of major excommunication, not to print anything in the forthcoming editions either of the Mishna or the Gemara, which for good or ill bears on the acts of Jesus the Nazarene … We enjoin you accordingly to leave blank the places that relate to Jesus the Nazarene in these editions, and to put instead a circle like this -O-, which will warn the rabbis and the schoolmasters to teach these passages to the youth only viva voce.  With this precaution, the scholars of the Nazarenes (Christians) will have no more pretexts to attack us on this subject.”

Le Cardinal Augustus Béa

Cardinal Augustus Béa

En 1940, en Suisse, devant le tribunal d’Oron siégeant à Lausanne, les 15, 16 et 17 janvier, se déroula un procès de Juifs contre des jeunes gens qui avaient distribué des pamphlets contenant des citations du Talmud:  L’une des citations était:  “Les Juifs sont appelés des hommes, les peuples du monde ne sont pas appelés des hommes, mais des bêtes.”  (Talmud, traité Baba mezia, 114b)  En accusation et en défense, des experts furent appelés à présenter des expertises au tribunal sur l’authenticité de ce texte (et d’autres) du

In 1940, in Switzerland, before the tribunal of Oron sitting at Lausanne on January 15th, 16th and 17th, a trial of Jews took place against young people who had distributed pamphlets containing quotations from the Talmud:  One of the quotations was:  “The Jews are called men, the peoples of the world are not called men, but beasts.”  (Talmud, treatise Baba mezia, 114b).  In prosecution and in defense, experts were called to present expertises to the Court on the authenticity of this text (and others) of

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Talmud.  L’expert pour la défense était M.H. de Vries de Heekelingen, professeur honoraire à l’Université de Nimègue, hébraïsant notoire et expert sur le Talmud.  Ne voulant pas se fier à ses propres connaissances, M. de Heekelingen, avant de présenter son expertise au tribunal, alla à Rome pour consulter le R.P. Augustus Béa, S.J., recteur de l’Institut pontifical biblique, le plus grand expert du Vatican en langues sémitiques et en science talmudique.  Après une étude approfondie, le R.P. Béa écrivit une expertise affirmant que le Talmud enseigne vraiment que seuls les Juifs sont des hommes et que les non-juifs sont des bêtes.  (Cf:  Le Talmud et le non-juif, Editions Victor Attinger, Neuchâtel, 1940, Tipografia Régionale, Roma, 1940, XVIII).  Ce témoignage auguste de celui qui est aujourd’hui le cardinal Augustus Béa est formellement indiscutable par les Juifs puisque ce savant cardinal s’est affirmé, au Concile Vatican II, comme le plus grand ami et protecteur des Juifs, et que même des calomniateurs dépités l’ont accusé injustement de s’être laissé corrompre par l’or de la Banque Internationale Juive via la Franc-maçonnerie juive des B’naï B’rith.

the Talmud.  The defense expert was M. H. de Vries de Heekelingen, a professor emeritus at the University of Nijmegen, a well known Hebraist and an expert on the Talmud.  Not wishing to rely on his own knowledge, before presenting his expertise to the court, Mr. de Heekelingen went to Rome to consult Fr. Augustus Bea, S.J., rector of the Pontifical Biblical Institute, the greatest expert in the Vatican on Semitic languages and in Talmudic science.  After a thorough study, Reverend Father Bea wrote an expert opinion affirming that the Talmud genuinely teaches that only Jews are men and that non-Jews are beasts.  (See Le Talmud et le non-juif (The Talmud and the Non-Jew), Victor Attinger Editions, Neuchatel, 1940, Tipografia Régionale, Roma, 1940, XVIII).  This august testimony of he who today is Cardinal Augustus Bea, is formally unquestionable by the Jews, because this learned cardinal affirmed himself at the Second Vatican Council as the greatest friend and protector of the Jews, and even of the spiteful calumniators who unjustly accused him of being bribed by the gold of the Jewish International Bank through the Free-masonry of B’nai B’rith.

K. J. Hirschfeld

K. J. Hirschfeld

J’ai correspondu avec un Juif de Londres, après la parution de son livre curieux, intitulé Hadst Thou But Known  (Si seulement tu avais su), édité à Paris en 1956.  Ce Hirschfeld est un Juif très pieux converti au christianisme en des circonstances vraiment extraordinaires.  Il avait passé, toute sa jeunesse en Palestine juive et avait été éduqué suivant les préceptes de la plus stricte orthodoxie judaïque.  C’est tout juste s’il ne devint pas un Rabbin.  Dans son livre, il écrit (pp. 30-36) :

I corresponded with a Jew in London after publication of his curious book, Hadst Thou But Known, in Paris in 1956.  This Hirschfeld is a very pious Jew converted to Christianity in quite extraordinary circumstances.  He had spent his entire youth in Jewish Palestine and had been educated according to the precepts of the strictest Jewish orthodoxy.  He just did not become a Rabbi.  In his book, he writes (pp. 30-36):

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36): “Lorsque dans le Talmud il est dit que le meilleur des gentils mérite d’être mis à mort, ce n’est pas une affirmation passagère, C’EST LA BASE FONDAMENTALE DE LA CONSCIENCE JUIVE ET DE LA FOI JUDAQUE”.  Plus loin, ce Juif honnête ajoute :  “Ce qu’il ne peut plus faire contre la personne même de Jésus comme devant le prétoire de Pilate, le peuple juif le fait depuis dix-neuf siècles contre Son œuvre, Son Eglise”.  Et, plus loin encore, Hirschfeld écrit :  “Admettons que les Juifs aient pu avoir des raisons de se révolter contre les tsars de Russie, à cause de persécutions, pogroms, etc., mais quelle raison peut-il y avoir pour les Juifs, en majorité parmi les traîtres et espions contre l’Amérique, de se révolter contre cette Amérique qui les a si bénévolement accueillis, qui leur a accordé l’égalité, qui leur a permis de faire fortune et d’être heureux ?”

36):  “When in the Talmud it is said that the best of Gentiles deserves to be put to death, it is not a passing affirmation, IT IS THE FUNDAMENTAL BASIS OF THE JEWISH CONSCIENCE AND OF THE JEWISH FAITH”.  Further on, this honest Jew adds:  “What it can no longer do against the person of Jesus, as before Pilate’s praetorium, the Jewish people has done for nineteen centuries against His work, His Church.”  And further on again, Hirschfeld writes:  “We admit that the Jews might have had reason to revolt against the tsars of Russia because of persecutions, pogroms, etc., but what reason can there be for Jews — the majority of the traitors and spies against America — to revolt against this America which has so freely welcomed them, which has granted them equality, which has enabled them to be wealthy and to be happy?”

Le Juif Hirschfeld, déjà cité, écrit en 1956 :  “Le peuple, d’Israël est mon peuple, je ne peux faire autrement que l’aimer …  Ma querelle n’en est pas contre la juiverie mais contre la Synagogue, l’“église” apostate qui est responsable de la mentalité juive et, par voie de conséquence, de tout ce que les Juifs ont fait depuis deux mille ans”.  Puis il attaque le grand responsable:  le Talmud et son judaïsme, allant jusqu’à dire qu’ils ont été cause des grandes conflagrations qui ont affligé notre monde si tourmenté.  Juste avant la dernière guerre le Juif Samuel Roth, de New York, dans son livre:  “Jews Must Live“, qui impute tant de responsabilité à la juiverie nord-américaine pour la décadence de l’éthique en médecine, droit, commerce, théâtre, presse, etc., a aussi son mot à dire, concernant le Talmud.  De même l’ex-grand rabbin Jacob Brafmann, l’abbé Joseph Lemann (juif converti), les tout récents

The Jew Hirschfeld, quoted above, writes in 1956:  “The people of Israel are my people, I cannot but love them … My quarrel is not with Jewry but with the Synagogue, the apostate ‘church’ which is responsible for the Jewish mentality and, by way of consequence, for all that the Jews have done for two thousand years.”  Then he attacks the major cause:  the Talmud and its Judaism, going as far as to say that these have been the reason for the great conflagrations that have afflicted our so tormented world.  Just before the last war, the Jew, Samuel Roth, of New York, in his book, Jews Must Live, in which he attributed so much responsibility to North American Jewry for the decadence of ethics in medicine, law, commerce, theater, the press, etc., also has his word to say concerning the Talmud.  Likewise, the ex-great rabbi Jacob Brafmann, Father Joseph Lémann (a converted Jew), and the quite recent

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auteurs, l’avocat juif Henry H. Klein, l’industriel juif Benjamin H. Freedman, etc.

authors, the Jewish lawyer Henry H. Klein, and the Jewish industrialist Benjamin H. Freedman, etc.

Dans son livre L’antisémitisme, son histoire et ses causes, le Juif Bernard Lazare attribue au Talmud et à l’esprit qu’il développe “l’insociabilité” des Juifs et un grand nombre des répressions qu’ils ont subies à travers les âges.  Pour cet historien, l’antisémitisme vient des Juifs eux-mêmes, disant que là où le Juif entre pour la première fois et où l’antisémitisme n’existe pas encore, c’est le Juif qui l’apporte avec lui, à cause de ce qu’il est et de ce qu’il va faire, la semence de la réaction défensive anti-juive.

In his book, L’Antisémitisme, son histoire et ses causes, (Anti-Semitism, its History and its Causes), the Jew Bernard Lazare attributes to the Talmud, and to the mind developed by it, the “unsociability” of the Jews and a great number of the repressions they have suffered through the ages.  For this historian, anti-Semitism comes from the Jews themselves, saying that there, where the Jew goes for the first time, and where anti-Semitism does not exist yet, it is the Jew who brings it with him, because of what he is and of what he will do:  i.e., (he, himself, is) the seed of the anti-Jewish defensive reaction.

Si l’antigentilisme ou haine farouche des non-juifs, est d’origine et d’essence religieuse à cause de l’enseignement du Talmud, on peut dire que le pro-gentilisme que les Juifs appellent “l’antisémitisme” est de la même origine religieuse juive, par voie de réaction.  Samuel Roth va jusqu’à dire que “l’antisémitisme”, défense spontanée contre une attaque, est aussi normal et naturel que le clignement de la paupière lorsque l’œil voit un objet ou un moustique se jeter sur lui.

If anti-Gentile-ism or fierce hatred of non-Jews is religious in origin and essence because of the teaching of the Talmud, it can be said that the pro-Gentile-ism which the Jews call “anti-Semitism” is of the same Jewish religious origin, by way of reaction.  Samuel Roth goes as far as to say that “anti-Semitism”, a spontaneous defense against an attack, is as normal and natural as the blink of the eyelid when the eye sees an object or a mosquito hurled against it.

Le Chef-Rabbin de Jérusalem

The Chief Rabbi of Jerusalem

Le 22 novembre 1963, le président américain John Fitzgerald Kennedy était assassiné par le castriste communiste Lee Oswald.  Comme le régime Kennedy avait beaucoup fait pour l’État d’Israël, il importait à cet État de faire un geste de gratitude.  Il y eut donc, à Jérusalem, dans une synagogue majeure, un office des morts à la mémoire de Kennedy.  Mais — FAIT À NOTER ATTENTIVEMENT — le chef rabbin Itzhok Nissim fit enlever de tout le rituel, pour la circonstance, le mot âme, PARCE QUE

On November 22nd, 1963, the American President John Fitzgerald Kennedy was assassinated by the Communist Castroist, Lee Oswald.  As the Kennedy regime had done a great deal for the State of Israel, it was incumbent upon that State to make a gesture of gratitude.  There was, therefore, in Jerusalem, in a major synagogue, an office for the dead in memory of Kennedy.  But — A FACT TO BE NOTED CAREFULLY — the Chief Rabbi Itzhok Nissim had the word “soul” removed from the whole ritual, for the circumstance, BECAUSE

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SEULS LES JUIFS ONT UNE ÂME.  (Cf:  Le Monde, en langue hébraïque, Jérusalem, décembre 1963; Idishe Kemfer, en jargon yiddish, New York, 27 déc. 1963; Jewish Currents, en langue anglaise, New York, mars 1964).

ONLY THE JEWS HAVE A SOUL.  (Cf. Le Monde, in the Hebrew language, Jerusalem, December 1963, Idishe Kemfer, in Yiddish jargon, New York, 27 Dec. 1963, Jewish Currents, in English, New York, March 1964).

Il ressort donc de tout ce qui précède que, suivant le Talmud pharisaïque qui moule l’âme juive de notre époque, seuls les Juifs sont des êtres humains ayant une âme, que les non-juifs sont du bétail, des animaux sans âme, surtout les chrétiens “idolâtres” qui adorent le Nazaréen … le grand maudit du Talmud des pharisiens.  Et cela est enseigné aux Juifs, encore de nos jours, en Amérique chrétienne et occidentale où les Juifs ne sont que des Orientaux non-(ou anti)-chrétiens.  Et, à nos politiciens ultra-ignorants de la question, le Congrès Juif Canadien, dans son mémoire concernant la refonte de la Constitution canadienne, suggère une révision de cette Constitution beaucoup plus dans le sens du Talmud que des Saints-Evangiles.  Déjà, les orientaux non-(ou anti)-chrétiens se croient maîtres de notre pays occidental et chrétien !

It follows, therefore, from all the above, that according to the Pharisaic Talmud which molds the Jewish soul of our time, only the Jews are human beings with a soul, non-Jews are cattle, soulless animals, especially the “idolatrous” Christians who worship the Nazarene … the great nemesis of the Talmud of the Pharisees.  And this is taught to the Jews, even nowadays, in Christian and Western America where the Jews are but non-Christian (or antichristian) Orientals.  And, for our politicians who are ultra-ignorant of the question, the Canadian Jewish Congress, in its memorandum concerning the revision of the Canadian Constitution, suggests a recasting of this Constitution much more in the sense of the Talmud than of the Holy Gospels.  Already, the non- (or antichristian) Orientals believe themselves the masters of our Western and Christian country!

Commentaires

Commentary

Seuls les Juifs ont une âme, seuls ils sont aimés et chéris de Dieu, seuls ils sont le peuple-élu appelé à dominer la terre, à régenter les goyim  ou Gentils non-juifs, à exploiter leurs personnes et leurs biens comme on le fait des animaux:  voilà l’enseignement du Talmud, tel qu’il est appliqué aujourd’hui dans tous les pays soumis au communisme juif.  Et les Juifs pharisaïco-rabbinistes croient et espèrent que le “bétailnon-juif va se laisser faire !  Ne croyez-vous pas qu’ils s’illusionnent quelque peu ?  Qu’à leur action offensive ne se produira pas une réaction défensive ?

Only the Jews have a soul, only they are loved and cherished by God, only they are the chosen people called to rule the earth, to rule the goyim or non-Jewish Gentiles, to exploit their persons and their property as they do with animals:  this is the teaching of the Talmud, as it is applied today in all countries subject to Jewish communism.  And the Pharisaico-Rabbinist Jews believe and hope that the non-Jewishcattle” will let themselves be used!  Do you not think that they are somewhat deluding themselves?  That their offensive action will not produce a defensive reaction?

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Il y a quelque 50 ans, au cours d’un procès de Juifs québécois contre le journal La Croix, de Québec, un Rabbin de Montréal vint jurer en Cour Supérieure qu’il n’est pas possible qu’un Gentil (un goy) soit “le prochain” d’un Juif.  Ce n’était rien de nouveau.  Deux mille ans auparavant, “voulant Lui tendre un piège”, les Pharisiens avaient déjà fait demander à Jésus :  “Qui est le prochain ?”.  Il leur avait répondu par la parabole du bon Samaritain, prouvant qu’un non-juif peut être “le prochain” d’un Juif.  Cette réponse divine et sans appel avait scandalisé les Pharisiens qui ne pouvaient alors penser à autre chose qu’à … le faire mourir !

Some 50 years ago, during a trial of Quebec Jews against the newspaper La Croix in Quebec City, a Rabbi from Montreal came to swear in Superior Court that it is not possible for a Gentile (a goy) to be “the neighbour” of a Jew.  This was nothing new.  Two thousand years before, the Pharisees, “wishing to trap Him”, had already asked Jesus, “Who is the neighbor?”  He had replied to them with the parable of the Good Samaritan, proving that a non-Jew could be “the neighbor” of a Jew.  This divine reply without appeal had scandalized the Pharisees, who could then think of nothing but … to kill Him!

Les Juifs nous parlent sans cesse d’anti­dis­crim­i­na­tion, d’antiracisme, d’antici et d’antiça.  Pourtant, avec le Talmud, ne sont-ils pas les plus furieux, féroces et intolérants des discriminateurs ?  Ne sont-ils pas, ce qu’il y a de plus fanatique, de plus extrémiste, de plus radical, de plus obsédé et de plus sauvage sur notre planète ?  Quelle est, en-dehors du judaïsme pharisaïque, la secte ou religion qui prétend que tous les êtres humains hors de son secteur sont du bétail, des animaux, des êtres sans âme ?  Cela ne s’est jamais vu ou entendu en-dehors du pharisaïsme talmudique juif.  Seuls les Juifs déchus du mosaïsme sont capables de pareil enseignement.  Ce qu’il y a de plus bas ou de plus arriéré sur terre en fait de paganisme n’a jamais été capable d’imaginer rien de tel.

The Jews constantly speak to us of anti-discrimination, of anti-racism, of anti-this and anti-that.  Yet, with the Talmud, are they not the most furious, ferocious and intolerant discriminators?  Are they not the most fanatical, the most extremist, the most radical, the most obsessed and the most savage on our planet?  What sect or religion, apart from Pharisaic Judaism, claims that all human beings outside its sector are cattle, animals, beings without a soul?  This has never been seen or heard outside Jewish Talmudic Pharisaism.  Only the Jews, fallen from the Mosaic Law, are capable of such a teaching.  The lowest or most backward thing on earth, paganism, in fact, has never been able to imagine anything of the sort.

De toutes les croyances, religions, sectes qui ont passé sur notre planète, une seule, la pharisaïque-judaïque, a enseigné que les êtres humains non-membres de son bercail sont des animaux, du bétail, des êtres sans âme.

Of all the beliefs, religions, sects that have passed on our planet, only one, the Jewish-Pharisaic, has taught that human beings who are not members of its fold are animals, cattle, beings without a soul.

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Peut-il y avoir encore sur cette terre de pire discrimination raciale-religieuse, de plus atrocement fanatique intolérance, de plus sauvage négation de la dignité de la personne humaine ?  L’histoire des temps les plus reculés, de l’antiquité, du moyen-âge et des temps modernes n’en donne pas d’autre exemple que le pharisaïco-judaïsme.  C’est plus que de la barbarie, c’est de l’animalisme, du satanisme.  C’est le tréfonds de la bassesse où peut sombrer ce qui, pendant vingt siècles avant le Christ, a porté la gloire la plus illustre de la sagesse.  C’est l’ultime mystique de la haine, de l’anti-charité, de l’anticivilisation.

Can there be anywhere on this earth worse racial-religious discrimination, more atrociously fanatical intolerance, a more savage negation of the dignity of the human person?  The history of the earliest times, of antiquity, the Middle Ages, and of modern times offers no other example than Pharisaic Judaism.  It is more than barbarism, it is animalism, Satanism.  It is the depths of baseness where they may founder who, for twenty centuries prior to Christ, were marked by the most illustrious glory of wisdom.  It is the ultimate mystique of hate, of anti-charity, of anticivilization.

On comprend pourquoi, avec pareille doctrine satanique de farouche exclusivisme racial-‘religieux’, on n’a pas encore vu depuis quatre mille ans de missionaire juif parcourir les cinq continents en abandonnant tout confort et en risquant sa vie pour gagner des gentils “sans âme” au culte de la secte pharisaïque du judaïsme.

One understands why, with such a satanic doctrine of fierce racial-‘religious’ exclusiveness, in four thousand years no Jewish missionary has yet been seen traveling the five continents, abandoning all comfort and risking his life to win “soulless” Gentiles to the cult of the Pharisaic sect of Judaism.

La haine attire la haine, le mépris engendre le mépris, souvent avec des conséquences physiques déplorables.

Hate attracts hate, contempt breeds contempt, often with unpleasant physical consequences.

  La pire source de haine, de mépris, d’intolérance, de racisme en ce monde réside dans le Talmud des Pharisiens, livre de base du Judaïsme.  Car, comme l’affirment à l’unanimité, encyclopédies, historiens, docteurs et savants juifs, sans le Talmud il n’y aurait plus de judaïsme, son pharisaïsme deviendrait impossible.

The worst source of hate, contempt, intolerance and racism in this world resides in the Talmud of the Pharisees, the basic book of Judaism.  For, as unanimously affirmed by Jewish encyclopedias, historians, doctors and scholars, without the Talmud there would be no Judaism, its Pharisaism would become impossible.

Que le Talmud disparaisse parmi les Juifs, et que seuls demeurent les saints livres de l’Ancien Testament, automatiquement et immédiatement l’antigentilisme juif disparaîtra, et en même temps ce qu’on appelle “antisémitisme”, sentiment naturel de défense.

If the Talmud disappeared from among the Jews, and all that remained were the holy books of the Old Testament, automatically and immediately Jewish antigentilism would disappear, and along with it what is called “anti-Semitism”, a natural feeling of defense.

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Il n’y a pas de réaction sans une action préalable.  Dans le cas des rapports Juifs-Gentils, l’action est l’assaut du Talmudisme qui veut avoir droit de cité parmi les Gentils, la réaction est la défense naturelle, normale, automatique, autopathique des Gentils contre un code qui les met en état d’animalité.  Toute l’histoire des juifs en apporte des preuves à chaque chapitre.

There is no reaction without prior action.  In the case of Jewish-Gentile relations, the action is the onslaught of Talmudism which seeks to have the rights to the city amongst the Gentiles; the reaction is the natural, normal, automatic, autopathic defense of the Gentiles against a code that puts them in a state of animality.  The whole history of the Jews is proof, in every chapter.

Que le Talmud enseigne aux Juifs que les non-juifs sont des animaux sans âme, du bétail exploitable à merci, des bêtes dont “la meilleure mérite d’être tuée”, etc., c’est leur affaire de croire à cette sottise ou non.  Mais c’est un droit strict, naturel et national, pour les Gentils de toutes races, de se défendre contre cette prétention et surtout contre toutes manœuvres inspirées par cette prétention, dans tous les domaines de l’activité humaine.  Le Talmudisme est “haine et mépris des Gentils”, l’antisémitisme est amour et sacrifice en défense des Gentils attaqués, persécutés, diffamés, exploités.

If the Talmud teaches the Jews that non-Jews are soulless animals, cattle to be exploited at will, beasts of whom “the best deserves to be killed”, etc., it is their affair to believe in this stupidity or no.  But it is a strict, natural and national right for Gentiles of all races to defend themselves against this claim and especially against all maneuvers inspired by this pretension in all fields of human activity.  Talmudism is “hatred and contempt of the Gentiles”, antisemitism is love and sacrifice in defense of the Gentiles who are attacked, persecuted, defamed and exploited.

Le meilleur service que les commissaires-enquêteurs Max Cohen et Saul Hayes pourraient rendre aux Juifs et … aux Gentils, dans leur rapport sur la “littérature de haine”, serait de recommander au Gouvernement canadien d’interdire toute distribution et tout enseignement du Talmud dans notre pays.  Le Talmud est à sens unique mais j’ose espérer que les commissaires ne le seront pas.

The best service that commissioners Max Cohen and Saul Hayes could render to the Jews and … Gentiles in their report on “hate literature” would be to recommend that the Canadian government prohibit all distribution and teaching of the Talmud in our country.  The Talmud is biased, but I hope the commissioners will not be.

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