Foreword

 

FOREWORD

Down With Hate!

À Bas La Haine !

AVANT-PROPOS

 
À Bas La Haine !

Down With Hate!

Le grand journaliste JOHN SWINTON fut longtemps rédacteur-gérant (managing editor) du “TIMES” de New York.  Lorsqu’il prit sa retraite, ses confrères américains lui firent un grand banquet.  Ci-après, une partie de son discours en réponse au toast porté à la “presse indépendante” :

The great journalist JOHN SWINTON was longtime managing editor of the “TIMES” of New York.  When he retired, his American fellows gave him a large banquet.  Here follows a part of his speech in answer to a toast raised to the “independent press”:

“Il n’existe pas de telle chose qu’une presse indépendante, à moins que ce ne soit dans une petite ville de campagne.

“There is no such thing as an independent press, unless it be in a small town in the countryside.

“Vous le savez et je le sais.  Il n’y en a pas un seul parmi vous qui ose écrire son honnête opinion, et si vous le faisiez, vous savez à l’avance que votre écrit ne serait jamais imprimé.

“You know it and I know it.  There is not one among you who dares to write his honest opinion, and if you did, you know in advance that it would never be printed.

“Je suis payé $150 par semaine pour ne pas publier mon honnête opinion dans le journal pour lequel je travaille.  D’autres, parmi vous, reçoivent de pareils salaires pour un pareil travail — et si n’importe qui d’entre vous était assez fou pour écrire son honnête opinion, il se retrouverait sur le pavé à se chercher un emploi.

“I am paid $150 a week not to publish my honest opinion in the newspaper for which I work.  Others among you receive similar wages for similar work and if any one of you were mad enough to write his honest opinion, he would find himself on the pavement in search of employment.

“L’occupation du journaliste de New York est de détruire la vérité, de mentir ouvertement, de pervertir, d’avilir, de ramper aux pieds de Mammon, et de vendre sa race et sa patrie pour son pain quotidien.

“The occupation of the New York journalist is to destroy the truth, to lie openly, to pervert, debase, to grovel at the feet of Mammon, and to sell his race and his homeland for his daily bread.

“Vous le savez et je le sais :  aussi, quelle folie que de boire à la santé d’une ‘presse indépendante’!

“You know it and I know it; and, what folly to raise a toast to the health of an ‘independent press’!

“Nous sommes les outils et les valets d’hommes riches qui se tiennent derrière la coulisse.  Nous

“We are the tools and flunkeys of rich men behind the scenes.  We

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sommes des polichinelles, ils tirent les ficelles et nous dansons.  Nos talents, nos possibilités et nos vies sont la propriété d’autres hommes.  Nous sommes des prostitués spirituels”.

We are puppets, they pull the strings and we dance.  Our talents, our potential and our lives are the property of other men.  We are spiritual prostitutes.”

Voilà ce qu’un journaliste consciencieux se sentait obligé de dire publiquement, comme chant du cygne qui mettait fin à sa carrière, avant la dernière guerre mondiale.  Il est vrai qu’il travaillait pour le “N.Y. TIMES”, ce quotidien qui prétend donner le ton à l’opinion mondiale, surtout américaine, mais qui n’est en somme que le porte-voix des richissimes banquiers juifs de Wall Street.  On se souvient que c’est ce “N.Y. TIMES” qui fit le plus pour justifier les deux premières guerres mondiales, pour exalter “good uncle Joe” Staline, pour sanctifier les trahisons de Yalta, Téhéran et Potsdam, pour béatifier les “bons réformateurs agraires” Mao-Tsé-Toung et Tchou-en-Lai et puis l’autre “bon réformateur agraire” Fidel Castro; pour discréditer les anticommunistes si dangereux pour le judéo-communisme, le sénateur Jos. McCarthy et le général MacArthur ; qui fit campagne contre le sénateur Goldwater pour sa proposition de politique militaire au Vietnam, qui fait maintenant campagne contre le président Johnson parce qu’il applique cette politique, qui critique aussi le président Johnson parce qu’il a fait marcher trop rudement ses “Marines” contre les bandits de Castro qui tentaient de faire un nouveau Cuba avec San Domingo.  La lecture régulière du “N.Y. TIMES” donne une assez juste idée des décisions prises par le grand sanhédrin financier international, qui se croit toujours le maître du monde moderne et fait marcher les journalistes et sous-journalistes comme des polichinelles attachés par des ficelles, comme disait le confrère John Swinton. 1

That is what a conscientious journalist felt obliged to say publicly as the swan song which concluded his career, before the last world war.  It is true that he worked for the “N.Y. TIMES”, the daily which claims to set the tone of world opinion, above all American, but that in sum is nothing but the mouthpiece of wealthy Jewish bankers on Wall Street.  We recall that the “N.Y. TIMES” did the most to justify the two world wars, to exalt “good Uncle Joe Stalin,” to sanctify the treasons of Yalta, Teheran and Potsdam, to beatify the “good agrarian reformers” Mao Tsetung and Chou En-Lai and then the other “good agrarian reformer” Fidel Castro; to discredit the anticommunists so dangerous for Judeo-Communism, Senator Joe McCarthy and General MacArthur; which campaigned against Senator Goldwater for his proposed military policy in Vietnam, and which now campaigns against President Johnson because he made his “Marines” tread too brutally against the Castro bandits who tried to make a new Cuba of San Domingo.  Regular reading of the “N.Y. TIMES” yields a sufficiently accurate idea of the decisions taken by the great international financial Sanhedrin which still believes itself the master of the modern world and makes the journalists and the sub-journalists toddle like puppets, as our colleague John Swinton said. 1

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1  Répétée mille fois, cette histoire n’en est pas moins apocryphe.  Se non è vero, è ben trovato.  Aucun journaliste n’a prononcé publiquement les paroles attribuées à Stanton, mais beaucoup auraient dû le faire, si le métier de journaliste n’avait pas usé toute velléité d’honnêteté et de rigueur chez ceux qui en font le métier.  L’aphorisme est juste et parce qu’il est juste, il n’a jamais pu être articulé à haute et intelligible voix.  (NdE).

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1 Repeated a thousand times, this story is no less apocryphal.  Se non è vero, è ben trovato.  No journalist has publicly uttered the words attributed to Swinton, but many should have, if the least inclination to honesty and rigor had not worn away from journalism among those who make it their occupation.  The aphorism is accurate and because it is accurate, it has never been possible to articulate it in a clear and intelligible voice.  (NdE).

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Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, la situation décrite par Swinton a empiré.  C’en est rendu au point que, un peu partout, les autorités politiques, judiciaires, policières, religieuses, doivent de plus en plus fréquemment se plaindre ou fulminer contre la gent journalistique “engagée” qui se croit, à l’instar du “N.Y. TIMES” à contrôle non chrétien et non-occidental, arbitre de l’avenir, de la morale, de la foi et de la “ré-structure” du monde chrétien et occidental.

Since the end of the Second World War, the situation described by Swinton has worsened.  It has come to the point that, just about everywhere, the political, judicial, police and religious authorities must ever more frequently complain or fulminate against the “committed” journalistic gent who thinks himself, at the prompting of the “N.Y. TIMES”, under non-Christian and non-western control, arbiter of the future, of morals, of faith and of “restructuring” of the Christian and western world.

Nous vivons dans un monde de mensonge et de perfidie.  La vérité est constamment soustraite (quand elle ne plaît pas) ou salie (quand elle est trop belle) ou tronquée (quand elle est trop complète).  En 1952, le Pape Pie XII a dû se plaindre même de la presse catholique qui avait fait pendant vingt ans la guerre du silence autour des miracles de Fatima.  Et combien d’évêques, après les séances du Concile Oecuménique Vatican II ont lu avec un certain effarement les distorsions publiées dans les journaux de leurs diocèses concernant ce Concile !

We live in a world of lies and perfidy.  The truth is constantly filched (when it is unpleasing) or sullied (when it is too lovely) or sawed-off when too complete.  In 1952, Pope Pius XII had to complain even of the Catholic press which for twenty years had waged a war of silence around the miracles of Fatima.  And how many bishops, after the sittings of the Ecumenical Council of Vatican II, read with a certain panic the distortions published in the newspapers of their dioceses concerning the Council!

Le mensonge, dont Satan lui-même est le père (s. Jean VIII^nbsp;[1]), est d’autant plus temporaire, local, opportuniste, compromettant et tolérant que la vérité est éternelle, universelle, intégrale, intransigeante et intolérante.  La vérité n’admet pas de soustraction, de souillures, de voile ou d’enténèbrement.  La vérité est la mère de la compréhension, de l’entente, de l’ordre, de la justice et de l’amour, lequel engendre la vraie paix.

The lie, of which Satan himself is the father (John VIII [1]), is much more temporary, local, opportunistic, compromising and tolerant than the truth is eternal, universal, whole, intransigent and intolerant.  The truth allows no subtraction, no tarnishing, no veiling or eclipsing.  Truth is the mother of understanding, of agreement, order, justice and love, which engender real peace.

Le mensonge crée les fausses nouvelles, les fausses théories, l’histoire erronée; en notre époque plus qu’en toute autre, il est devenu un produit de fabrication à la chaîne qui suscite le chaos des idées par la perversion

The lie creates false news, false theories and erroneous history.  In our time, more than any other, it has become a product manufactured on the assembly line, which provokes the chaos of ideas by the perversion

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[1]  “44.  C’est le diable, dont vous imitez les sentiments et les œuvres. — Vous voulez, c’est-à-dire vous êtes ardents à accomplir ses désirs pervers, notamment celui du meurtre. — Homicide:  il s’agit, non du meurtre d’Abel, mais de la perte de nos premiers parents qui, séduits par le démon, furent condamnés à mort (Sag. ii, 24). — Dans la vérité, dans son intégrité première, ou plutôt dans la connaissance de Dieu, source de toute vérité :  il s’est fait le propagateur de l’erreur et du mensonge parmi les anges et les hommes. — Le père du mensonge.  On peut traduire aussi :  Le père du menteur, de tout menteur.”  (À voir, i.e., la 1ère édition de la Bible Crampon (1894) éditée en 7 tomes :  tome 6, p. 371 (399/658) & p. 372)

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[1]  “Ye are of your father the devil, and the lusts of your father ye will do.  He was a murderer from the beginning, and abode not in the truth, because there is no truth in him.  When he speaketh a lie, he speaketh of his own:  for he is a liar, and the father of it.”  John VIII:44.  That citation is quite approximate given the attractively intellectual Crampon French translation of the Holy Bible of 1894, with commentaries and annotations; which may be the one Arcand used.  The first edition of 1894 is a French translation of the Latin Vulgate, with the French and Latin on facing pages.  The Crampon is cited here at left.

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des mots.  Le dialogue, dont on parle tant, est devenu impossible puisque les mêmes mots ont un sens différent ou contraire suivant l’optique spirituelle de ceux qui les utilisent.  Et il n’y a que deux seules optiques possibles dans ce dialogue recherché et qui ne sera possible qu’après la chute définitive d’une des deux optiques :  celle du christianisme spiritualiste trinitaire, celle du judaïsme matérialiste farouchement antichrétien.  Comme le répètent tant de savants auteurs juifs, il y a entre les deux un abîme sans fond et infranchisable que rien ne saura jamais combler.  Et ceux qui, par esprit de faux “bon-ententisme” ou pour des considérations d’avantages personnels, ont voulu avoir un pied dans l’un et l’autre messianismes, en sont revenus irrécupérablernent “judaïsés dans la mesure qu’ils ont été déchristianisés”, pour employer l’expression de l’historien juif Bernard Lazare.  Et, leur foi (c’est-à-dire la Vérité) ayant été “détotalisée”, ils sont devenus partiellement incrédules et, ne pouvant plus trouver de refuge dans la “Vérité intransigeante et intolérante” du messianisme chrétien, ils se sont livrés partiellement au messianisme désuet d’il y a vingt siècles qui veut renaître matérialistement sur les ruines désirées du spiritualiste.  C’est pourquoi l’historien juif éminent James Darmesteter a écrit avec tant de justesse :  “Le Juif, est le docteur de l’incrédule, tous les révoltés de l’esprit viennent à lui, dans l’ombre ou à ciel ouvert”.  Les fondations “judéo-chrétiennes”, de financement juif, sont les parfaits lupanars spirituels pour ces “révoltés de l’esprit”.

of words.  Dialogue, which is so much talked about, has become impossible because the same words have a different or contrary meaning according to the spiritual conception of those who use them.  And there are but two conceptions possible in this sought-after dialogue which will not be possible until after the definite downfall of one of the two conceptions:  that of Trinitarian Christian spirituality, or that of fiercely antichristian materialist Judaism.  As so many learned Jewish authors repeat, there is a bottomless and impassable abyss between the two that nothing will ever bridge.  And those who, in a false spirit of “good will” or for considerations of personal advantage, have wanted to have a foot in both these messianisms, have come back “Judaized to the extent they have been dechristianized” beyond repair, to use the expression of the Jewish historian Bernard Lazare.  And their faith (which is to say, the Truth) having been detotalized, they have become partially incredulous, no longer capable of finding refuge in the “intolerant and intransigent Truth” of Christian messianism; they have delivered themselves partially to a messianism in abeyance for twenty centuries which wants to be reborn materialistically on the wished-for ruins of the spiritual.  This is why the eminent Jewish historian James Darmesteter wrote with such accuracy:  “The Jew is the physician of the non-believer; all those rebels of the spirit come to him, in the shadows or under the open sky”.  The Jewish-financed “Judeo-Christian” foundations are the perfect spiritual brothels for these “rebels of the spirit”.

Le mensonge, par ses produits et sous-produits, engendre inévitablement la querelle, la révolte, l’émeute, la guerre, l’homicide.  Il est le père de cette fille hideuse que l’on appelle la Haine.  La haine ne peut, ni de près ni de loin, surgir de l’enseignement du

The lie, by its products and its sub-products, inevitably engenders quarrels, revolts, riots, wars, and murder.  It is the father of that hideous daughter called Hate.  Hate cannot, near or far, spring up from the teachings of

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Christ, qui n’est qu’Amour.  Elle ne peut venir que de ce qui est antichrétien, anti-amour.  Quand Saint Jean parle de “Satan, père du mensonge, car il n’y a pas de vérité en lui, homicide dès le commencement”, il décrit assez bien comment le mensonge ne peut produire que de l’homicide.  Et comme Jésus-Christ a dit, par un décret sans appel, “Je suis la Vérité”, il s’ensuit que tout ce qui est contre le Christ et Son christianisme est mensonger et originateur d’homicide.  Sur notre terre, depuis dix-neuf siècles et en ce moment, le judaïsme talmudique est ce qu’il y a de plus fervemment antichrétien, d’autant plus que le judaïsme a à sa disposition les contrôles mondiaux de la finance, de la propagande, de la politique et de la diplomatie:  donc les contrôles primordiaux pour la propagation du mensonge.  Tout l’Occident chrétien le sait, presque tous ses membres n’osent le dire, par intérêt personnel.  Ayant payé le plein prix [1] de dire la vérité, je suis un des rares Occidentaux chrétiens qui puisse se permettre de parler sans crainte des conséquences:  privilège rarissime en notre époque.

Christ, who is only Love.  It cannot come except from those who are antichristian, anti-love.  When Saint John speaks of “Satan, father of the lie, because there is no truth in him, a homicide from the beginning”, he quite well describes how the lie can only produce murder.  And, since Jesus Christ said, by a decree without appeal, “I am the Truth”, it follows that all which is against Christ and His Christianity is a lie and the author of murder.  On our Earth, for nineteen centuries and at this moment, Talmudic Judaism has been the most fervently antichristian, all the more as Judaism has at its disposal the world controls over finance, propaganda, politics and diplomacy:  and thus the primary controls for the propagation of lies.  The whole Christian West knows it; nearly all of its members dare not say it, out of personal interest.  Having paid the full price [1] for speaking the truth, I am one of the rare western Christians who can allow himself to speak without fear of the consequences:  a rare privilege in our times.

Comme le monde actuel vit presque submergé dans un océan de mensonges, d’erreurs, de demi-vérité, de sophismes, de “lavage de cerveau” au détersif judaïque, il ne peut vivre que dans la haine, à l’opposé de l’amour chrétien.  C’en est rendu à tel point que les vrais chrétiens, les orthodoxes, les “intègres” et les “conformistes” sont devenus des OBJETS DE HAINE pour les “doctorillons de charisme” judaïsé.  Les nouveaux “docteurs” du christianisme, qui se proclament “chrétiens de gauche”, si empressés au dialogue avec les ennemis du Christ, ont tellement abandonné l’Amour et tellement épousé la Haine de leurs inspirateurs, qu’ils en sont rendus à traiter de “chiens” ceux qui ne veulent pas démordre de leur obéissance

As the world today lives almost submerged in an ocean of lies, errors, half-truths, sophisms, “brainwashing” in Jewish detergent, it can only live in hatred, as opposed to Christian love.  It has come to such a point that the true Christians, the Orthodox, the “integrals” and the “conformists” have become OBJECTS OF HATE for the little Judaized “doctors of apostolic fervor”.  The new “doctors” of Christianity, who call themselves “Christians of the Left”, so eager to dialogue with the enemies of Christ, have so abandoned Love and so espoused the hate of their inspirers that they have come to treat as “dogs” those who do not want to give up their

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[1]  Adrien Arcand a été arrêté le 30 mai 1940 par le gouvernement fédéral de William Lyon Mackenzie King, un pantin de Rockefeller; Les Rockefeller avaient cofinancé la «révolution» bolchevique de 1917, la prise de pouvoir juive de la Russie.  Un document de 1983 du Parti de l’unité nationale du Canada d’Arcand, alors toujours existant :  «Au cours d’une enquête préliminaire sans queue ni tête qui a été ajournée sine die (l’équivalent d’un acquittement), le N.U.P.C.  (Sur la couverture arrière de À Bas La Haine!, 1965, Arcand lui-même donne la date comme le 21 juin.)  Arcand fut alors envoyé, sans inculpation ni procès, à un camp de concentration improvisé à Fredericton, au Nouveau-Brunswick.  En juin 1936, quelque trois ans avant que le Canada n’entame la Seconde Guerre mondiale en septembre 1939 en tant qu’allié des communistes soviétiques, Mackenzie King a abrogé l’art. 98 du Code criminel du Canada qui avait interdit les organisations communistes dans le pays ; en juin 1940, cependant, le gouvernement King proscrit 16 organisations politiques, dont le Parti communiste et la Ligue des jeunes communistes) :  (Robert Comeau et Bernard Dionne, Le droit de se taire, Montréal:  VLB Éditeur, 1989).  Néanmoins, sur la même couverture arrière, Arcand rapporte la condition de libération qui lui est proposée tous les six mois par les larbins du King :  “faire sa part loyale pour notre glorieuse alliée soviétique”.  Arcand a refusé.  Le N.U.P.C., cité ci-dessus, poursuit :  “Adrien Arcand a enduré stoïquement le test ; il serait privé de sa liberté pendant cinq ans et cinq semaines :  le plus long internement de ce genre dans tout l’Empire britannique. » (Voir page 12, Adrien Arcand devant le tribunal de l’histoire :  Scandale à la société Radio-Canada, 1983.

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[1]  Adrien Arcand was arrested on May 30th, 1940 by the federal government of William Lyon Mackenzie King, a Rockefeller puppet ; the Rockefellers had co-financed the 1917 Bolshevik “revolution”, the Talmudic takeover of Russia.  A 1983 document by Arcand’s then surviving National Unity Party of Canada states (translation) :  “During a preliminary inquiry without tail or head which was adjourned sine die (the equivalent of an acquittal), the N.U.P.C. was decreed illegal by Order in council on the 4th of June.”  (On the back cover of À Bas La Haine !, 1965, Arcand himself gives the date as June 21st.)  Arcand was then sent, without charge or trial, to a makeshift concentration camp at Fredericton, New Brunswick.  In June of 1936, some three years before Canada entered WWII in September of ‘39 as the ally of the Soviet Communists, Mackenzie King repealed s. 98 of the Criminal Code of Canada which had outlawed Communist organizations in the country; in June of 1940, however, the King government proscribed 16 political organizations, including the Communist Party and the Young Communist League):  (Robert Comeau and Bernard Dionne, Le droit de se taire, Montreal:  VLB Éditeur, 1989).  Nonetheless, on the same back cover, Arcand relates the condition of release proposed to him every six months by flunkies of King:  “do his loyal share for our glorious Soviet ally”.  Arcand refused.  The N.U.P.C., quoted above, continues:  “Adrien Arcand stoically endured the test; he would be deprived of his liberty for five years and five weeks:  the longest internment of its kind in the whole British Empire.”  (See p. 12, Adrien Arcand devant le tribunal de l’histoire :  Scandale à la société Radio-Canada, 1983; translation:  Adrien Arcand Before The Court Of History: Scandal At The CBC).

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aveugle aux dogmes catholiques et de leur soumission au Saint-Siège.  C’est ce qui ressort de la polémique engagée entre Gauchistes et Droitistes chrétiens de France en ce moment.  La haine vraiment judaïque et synagogarde des clercs “gauchistes judaïsés” a arraché ce cri douloureux à Edith Delamare, premier cri du genre depuis le Golgotha:  “Nos prêtres nous haïssent”.  La haine est rendue jusque-là, là où l’amour avait toujours présidé, l’amour pour les baptisés d’abord, puis l’amour d’espérance ensuite pour les haineux !

blind obedience to Catholic dogmas and their submission to the Holy See.  This is what emerges from the polemic between Leftists and Christian Rightists in France at the moment.  The truly Jewish and synagogue hatred of the “Judaized Leftist” clerics tore this painful cry from Edith Delamare, the first cry of its kind since Golgotha:  “Our priests hate us”.  The hate has gone that far, to that place where love had always presided, love first of all for the baptized, then afterwards, the love of hope for the haters!

La Haine est la fille du Mensonge, comme la Violence est la fille de la Haine, comme l’Homicide est le fils de la Haine.

Hate is the daughter of the Lie, as Violence is the daughter of Hate, as Murder is the son of Hate.

Pour abolir la haine, il faut d’abord abolir le mensonge.  Et tout, en notre époque, est mensonge, à cause des moyens de propagande contrôlés par des antichrétiens dans un monde chrétien, que ce soit par les moyens des agences de nouvelles transmises aux journaux, du contrôle des réclames payantes dont vivent les journaux, du cinéma, de la radio, de la télévision, des pressions sur la politique, la diplomatie, le personnel enseignant des universités, écoles secondaires, normales ou primaires (surtout par l’influence judeo-maçonnico-marxiste de l’UNESCO).

To abolish hate, one must first abolish the lie.  And all in our time is a lie because of the means of propaganda controlled by antichristians in a Christian world, whether by means of news agencies transmitting it to the newspapers, control over paid advertising on which the newspapers live, the cinema, radio, television, pressure on politics, diplomacy, the teaching personnel of the universities, secondary schools, normal or primary schools (above all through the Jewish-Masonic-Marxist influence of UNESCO).

Pour qu’il n’y ait plus de haine en ce monde — est-ce possible ? — il faudrait d’abord qu’il n’y ait plus de mensonge, que la vérité, toute la vérité et rien que la vérité prévale et soit enseignée partout ; que chacun qui a tort admette ses torts; que chacun qui a mal fait admette sa malfaisance.  S.S. Paul VI eu l’extrême humilité et charité de demander pardon au monde entier pour tout ce que les chrétiens ont pu faire de mal depuis l’ascension du Christ.  Il a donné l’exenple.  Les

For there to be no more hate in this world — is it possible? — there must first be no more lies.  Only the truth, the whole truth and nothing but the truth must prevail and be taught everywhere.  Each who has done wrong must admit his wrongs; each who has done evil must admit his malfeasance.  His Holiness Paul VI had the extreme humility and charity to ask the pardon of the whole world for all that Christians might have done wrong since the ascension of Christ.  He set the example.  Will the

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autres, surtout les Juifs qui n’ont jamais voulu admettre leurs torts, suivront-ils cet exemple venu du vicaire du Christ, vrai Dieu, vrai Messie et seul Rédempteur de tous les hommes ?  Comme le reste du monde, j’attends.  Et, en attendant j’espère, comme le reste du monde, que la Haine, fille du Mensonge (dont le père est Satan), sera étouffée dans sa racine par ceux qui la propagent, qui se plaignent toujours de la Vérité, qui larmoient comme de fausses victimes et qui voudraient … survivre à l’inévitable triomphe de cette Vérité, triomphe certain et très prochain.

others, above all the Jews, who have never wanted to admit their wrongs, follow the example of the Vicar of Christ:  the true God, the true Messiah and the sole Redeemer of all men?  Like the rest of the world, I am waiting.  And while I wait I hope — like the rest of the world — that Hate, the daughter of the Lie (whose father is Satan), will be strangled at the root by those who propagate it, who still complain about the Truth, who blubber like false victims and who would like … to survive the inevitable, certain and quite forthcoming triumph of Truth.

Pour le salut moral et surtout PHYSIQUE des semeurs de mensonge et de HAINE, je voudrais qu’ils ouvrent les yeux avant qu’il ne soit trop tard, à cette heure aussi avancée, et que, comme les 99% de l’humanité qu’ils défient et harassent et torturent, ils survivent dans la paix, la prospérité et l’amour.

For the moral wellbeing and above all the PHYSICAL wellbeing of the spreaders of lies and HATE, I would like them to open their eyes before it is too late, at this quite late hour; and together with the 99% of humanity whom they defy, harass and torture, that they live in peace, prosperity and love.

A.A.

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