Fascism or Socialism?  Third Instalment of a Talk by Adrien Arcand at Montreal in 1933, published by “Le Patriote”

A (now-antique) letterpress printing press, circa 1885

A (now-antique) letterpress printing press, circa 1885, used here to print “anti-semitic propaganda”. / Une presse typographique (désormais antique), vers 1885, utilisée ici pour imprimer la «propagande antisémite».

 
Contrary to what some illusionists claim, there is not nor can there be Christian socialism.  This myth was confounded by the highest Christian authority, that of the Vatican, when Pius X condemned the errors of “Sillon”.  Moreover, the great doctrinarians of socialism, among others Proudhon, Millerand, Jaurès, have affirmed that any claim to Christian socialism is as illusory as it is idiotic.  Popes, bishops, rabbis, masonic and socialist leaders all admit that there is an absolute incompatibility between socialism and Christianity.  There is a Christian sociology, a Christian social doctrine, but not Christian socialism, in the sense that all authors give to socialism.

— From Adrien Arcand’s Fascism or Socialism? (1933)

 

Foreword

Thank the pandemic, I have ten more pages for you!

Part 1 is here.
Part 2 is here.
And I give you part 3:
 


FASCISM OR SOCIALISM?

Preview of a Talk by Adrien Arcand

GIVEN AT MONTREAL IN 1933

For the first time in English


Adrien Arcand

Fascisme ou Socialisme ?

Fascism or Socialism?

Deux consciences
différentes

Two different
consciences

La démocratie libérale a provoqué la plus grande catastrophe de tous les temps.  Pourquoi ?  Parce que l’esprit de révolte qui forme son essence réelle a imposé aux sociétés occidentales un genre de vie publique contraire et opposé à la vie privée et aux croyances personnelles des individus.

Liberal democracy has provoked the greatest catastrophe of all times.  Why?  Because the spirit of revolt that forms its real essence has imposed on western societies a kind of public life contrary and opposed to private life and to the personal beliefs of individuals.

Dans sa vie privée, le chrétien croit à l’existence et l’immortalité de l’âme ; le libéralisme a passé des lois qui ne répondent pas à cette croyance fondamentale.  Dans sa vie privée, le chrétien accepte un code bien défini de justice sociale et d’équité ; le libéralisme a fabriqué une foule de lois, telles que nos lois des compagnies anonymes et des faillites, qui forcent l’individu à accepter publiquement une malhonnêteté que sa conscience réprouve.  Dans sa vie privée, le chrétien croit au principe d’une autorité de droit divin, personnelle, responsable ; avec son suffrage universel, le libéralisme lui impose une autorité anonyme, impersonnelle, irresponsable :  l’autorité de la majorité du nombre.  Dans sa vie privée, le chrétien croit à l’obligation de la pratique des vertus, et pardessus toutes, celle de la charité, base de tout christianisme ; le libéralisme inspire des lois qui tendent à faire disparaître complètement la charité individuelle, en en faisant retomber la responsabilité sur l’Etat.  Dans sa vie privée, le chrétien se soumet à la discipline d’un certain code de lecture, d’amusements, de récréations ; le libéralisme, au nom de la liberté, fabrique des lois qui invitent l’individu à outrepasser impunément les bornes morales fixées par sa conscience.  Dans sa vie privée, le chrétien croit à l’autorité patriarchale dans la famille, au droit de propriété ; le libéralisme, dans ses législations, attaque et comprime l’autorité paternelle, crée des monopoles et des cartels qui tendent à annihiler, en l’absorbant, toute propriété privée.  Et il en est de même de tout.  Est-il étonnant que la démocratie libérale ait conduit au désastre et au déséquilibre quand on réalise qu’elle force l’individu à se comporter de façon contraire à ses convictions et ses principes ; à avoir deux consciences différentes, l’une spiritualiste pour sa vie privée, l’autre matérialiste pour sa vie publique ?  Non, car ce n’est que la conséquence de la définition que le libéralisme fait de l’être humain :  un être purement matériel et sans âme, c’est-à-dire le goy défini par le Talmud.  Sur la définition de l’homme, comme sur tout le reste, Talmud et libéralisme s’entendent parfaitement.  C’est naturel, l’un et l’autre sont juifs !

In his private life, the Christian believes in the existence and the immortality of the soul; liberalism passes laws which do not respond to this fundamental belief.  In his private life, the Christian accepts a well defined code of social justice and equity; liberalism has manufactured a host of laws, such as our anonymous company and bankruptcy laws, which force the individual to accept publicly a dishonesty that his conscience rejects. In his private life, the Christian believes in the principle of personal and accountable authority by divine right; with its universal suffrage, liberalism imposes upon him an anonymous, impersonal and unaccountable authority:  the authority of the numerical majority.  In his private life, the Christian believes in the duty to practice the virtues, and above all, Charity, the very basis of Christianity. Liberalism inspires laws which tend to the complete disappearance of individual Charity, by causing responsibility to fall upon the State. In his private life, the Christian submits to the discipline of a certain code of reading, amusement, recreation; liberalism, in the name of liberty, produces laws which invite the individual to exceed with impunity the limits of good morals set by his conscience. In his private life, the Christian believes in patriarchal authority in the family, in the right to property; liberalism, in its legislation, attacks and compromises paternal authority, creates monopolies and cartels which tend to annihilate all private property by absorbing it. And the same goes for everything.  Is it surprising that liberal democracy has led to disaster and disequilibrium when one realizes that it forces the individual to behave in a fashion contrary to his convictions and his principles; to have two different consciences, one spiritual for his private life, the other materialist for his public life?  No, because this is just the consequence of how liberalism defines the human being: as a purely material being without a soul, which is how the Talmud defines the non-Jew.  As to the definition of man, as with all the rest, the Talmud and liberalism perfectly agree.  Naturally; both are Jewish!

Quand nous parlons de la démocratie libérale, nous parlons de tous les partis politiques, sans exception, qui ont accepté le systèrne démocratique.  Ces partis se rangent sous les deux appellations générales de libéralisme et de conservatisme.

When we speak of liberal democracy, we are talking about all the political parties, without exception, which have accepted the democratic system. These parties are grouped under the two general labels of liberalism and conservatism.

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Fascisme ou Socialisme ?

Fascism or Socialism?

Le “libéralisme économique”

“Economic
liberalism”

Des chefs libéraux sincères ont commencé, depuis quelque temps, de réaliser l’erreur libérale.  Soit qu’ils ne voient qu’un partie du danger, soit qu’ils en voient la totalité mais ne veulent en admettre qu’une partie, ils dénoncent présentement ce qu’ils appellent le libéralisme économique.  C’est futile en primaire !  Le libéralisme économique n’est qu’une conséquence de l’application du libéralisme philosophique.  Le liberalisme pur, le libéralisme intégral, le libéralisme philosophique, en un mot, est le véritable et le seul mal ; c’est le même libéralisme qui, suivant ses applications, devient le libéralisme religieux, le libéralisme politique, le libéralisme social, le libéralisme économique, le libéralisme internationaliste ; partout, c’est toujours la philosophie libérale, la cause première, la puissance agissante, l’idée inspiratrice, le principe dirigeant, dont toute les formes libérales ne sont que les conséquences.  Quand les chefs de la chrétienté ont condamné le libéralisme, quand Sa Sainteté Pie XI a promulgué :  “Le socialisme a le libéralism pour père et le bolchevisme pour héritier”, ils n’avaient pas en vue la combinaison idiote que l’on dénomme depuis quelque temps “libéralisme économique”, mais la philosophie libérale, le libéralisme in se.

Sincere liberal leaders have begun to realize the liberal error.  Either they see only a part of the danger, or they see the whole of it, unwilling to admit more than a part.  They currently denounce what they call economic liberalism.  This is plainly futile!  Economic liberalism is nothing but the consequence of putting philosophical liberalism into practice.  Pure liberalism, complete liberalism, philosophical liberalism, in one word, is the true and only error; it’s the same liberalism which, when applied, becomes religious liberalism, political liberalism, social liberalism, economic liberalism, internationalist liberalism.  In all of it, liberal philosophy is the root cause, the acting power, the inspiring idea, the directing principle, of which all liberal forms are only the consequences.  When the leaders of Christianity condemned liberalism, when His Holiness Pope Pius XI proclaimed:  “Socialism has liberalism for its father and Bolchevism for its heir”, they did not have in mind the idiotic combination that for some time has been called “economic liberalism”, but liberal philosophy, liberalism itself.

Le conservatisme n’a pas
répondu à sa mission

Conservatism has not
fulfilled its mission

Quant au conservatisme tel que le représentent aujourd’hui nos partis conservateurs, il ne vaut guère mieux que le libéralisme.  Le conservatisme, en se soumettant au mode démocratique et à toutes ses combinaisons, a absorbé et fait sienne l’idée libérale.  La politique conservatrice est exactement la même que la politique libérale, au point de vue des principes philosophiques, et elles ne se distinguent que par des différences administratives.  Les lois passées en ce pays par nos deux partis font l’affaire de l’un et de l’autre, et l’on n’a pas encore vu le parti conservateur ni le parti libéral altérer les lois de grande portée sociale qu’ils ont tous deux alambiquées dans le sens des principes de 1789.  Notre grand parti conservateur assez franc pour arborer ses vraies couleurs, se nomme le “Parti Libéral-Conservateur du Canada” et, s’il présente des dangers moins immédiats et moins extrêmes que le parti libéral et le parti socialiste, il est tout de même libéral avant d’être conservateur, il partage la même doctrine que les deux autres sur les rapports qui doivent exister entre l’individu et l’Etat.  C’est pourquoi le parti conservateur, qui subit complaisamment les vieilles lois libérales du passé, ne saurait être le parti de l’avenir.  Il partage dans les responsabilités du chaos actuel

As for conservatism, as represented today in our conservative parties, it’s hardly better than liberalism. Conservatism, by submitting to the democratic regime and all its combinations, has absorbed and embraced the liberal idea.  Conservative politics is exactly the same as liberal politics from the point of view of philosophical principles, and only stands apart on administrative differences.  Laws passed in this country by our two parties are the business of both, and we have not yet seen the conservative party or the liberal party alter laws of broad social scope which they both have forged according to the principles of 1789.  Our great conservative party, candid enough to show its true colors, calls itself the “Liberal-Conservative Party of Canada” and, if it presents less immediate and less extreme dangers than the liberal party and the socialist party, it is all the same liberal before it is conservative.  It espouses the same doctrine as the other two on the relationship that must exist between the individual and the State.  This is why the conservative party, which obligingly tolerates the old liberal laws of the past, can hardly be the party of the future.  It shares responsibility with the liberal party for the current chaos

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Fascisme ou Socialisme ?

Fascism or Socialism?

avec le parti libéral, puisqu’il n’a pas su dans le passé répondre à sa mission véritable, qui était de détruire la philosophie libérale, et non de s’en nourrir.

since it has not in the past known how to fulfill its true mission, which was to destroy liberal philosophy, and not to sustain it.

Besoin de formules neuves

Need for new formulas

Ce dont chaque pays a besoin, et le nôtre en particulier, ce sont des formules jeunes et vigoureuses, qui pourront opérer un redressement et provoquer une renaissance.  Les vieilles idées démocratiques sont des couleurs déteintes, un sel affadi ; la vieille structure démocratique tombe de décrépitude, rien ne peut la relever; la démocratie libérale a fait ses preuves, elle n’a apporté que des misères et des malheurs.  Le monde a fait fausse route, il faut changer de voie, les circonstances matérielles et l’état des esprits l’exigent.  Aux foules qui cherchent et attendent une solution ne s’offrent, répétons-le, que deux alternatives :  le fascisme ou le socialisme.  La question a déjà été soumise sous d’autres formes :  chrétien ou juif, Rome ou Moscou.

What every country needs, and ours in particular, is young and vigorous formulas, able to work a remedy and provoke a rebirth.  The old democratic ideas are faded colors, a weakened salt; the old democratic structure is falling from decrepitude, nothing can raise it up again; liberal democracy has been tested, it has only brought misery and misfortune. The world has gone astray, it must change its path, material circumstances and the state of mind require it.  To the masses who are looking and waiting for a solution that is not presenting itself, we repeat, there are only two alternatives: fascism or socialism.  The question has already been submitted in other forms: Christian or Jew, Rome or Moscow.

Le socialisme

Socialism

Le socialisme, prêché depuis plus d’un demi-siècle, est plus connu que le fascisme, il a été plus étudié, plus commenté, il a fait ses preuves dans un plus grand nombre de pays.  Il ne sera donc pas nécessaire de nous y attarder plus que de raison.

Socialism, preached for over half a century, is better known than fascism, it has been studied more, more commented on, it has been tested in many countries. It will therefore not be necessary to linger over it beyond reason.

Le socialisme est la conclusion logique du libéralisme démocratique.  Il en partage les méfaits, en les aggravant.  Aucun auteur n’a plus laconiquement et plus clairement exposé les rapports de l’un et l’autre que S. S. Pie XI, dans la phrase citée tout à l’heure :  “Le socialisme a le libéralisme pour père et le bolchevisme pour héritier”.  Le socialisme, c’est la question sociale injectée dans le libéralisme, qui en a préparé la discussion obligatoire en préparant et suscitant les luttes de classes.  Un coup d’oeil rapide sur les accomplissements du libéralisme démocratique permettra de mieux comprendre comment est devenue nécessaire la conscience de la question sociale.

Socialism is the logical conclusion of democratic liberalism.  It shares its misdeeds by worsening them.  No author has more dryly and more clearly exposed the relationship between the two than His Holiness Pope Pius XI, in the phrase cited above:  “Socialism has liberalism for its father and bolshevism for its heir”.  Socialism is the social question injected into liberalism, which has prepared its obligatory discussion by preparing and causing the class struggles.  A quick glance at the accomplishments of democratic liberalism will make it possible to better understand how awareness of the social question became necessary.

Faux principes qui servent
de base

False principles used
as a basis

La démocratie, consacrée par la Révolution Française, a elle-même consacré les faux principes d’égalité pour tous et de liberté pour tout.  Ces principes se sont imposés graduellement dans toutes les nations occidentales, avec des conséquences qui peuvent se résumer par ces mots :  la perte réelle de la liberté.  Les races nationales, sous la démocratie, ont perdu la suprématie terrienne de leur pays, par la liberté accordée aux étrangers de s’en emparer.  Les religions nationales ont

Democracy, established by the French Revolution, has enshrined the false principles of equality and liberty for all.  These principles have been gradually imposed in all western nations with consequences that can be summed up in these words:  real loss of liberty.  The national races, under democracy, have lost territorial supremacy over their countries, through the liberty accorded to foreigners to come and help themselves to a piece of it.  The national religions

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Fascisme ou Socialisme ?

Fascism or Socialism?

perdu leur suprématie, par la liberté accordée à toutes les religions étrangères de devenir leurs égales.  Les races nationales ont perdu leur suprématie nationale, par la liberté accordée à toutes les races étrangères de devenir leurs égales chez elles, avec la liberté de partager leurs droits, leurs privilèges, leur patrimoine.  Les races nationales ont perdu leur suprématie financière, industrielle et commerciale chez elles, par la liberté accordée à tous les éléments étrangers de venir leur livrer compétition.  En accordant une reconnaissance officielle aux étrangers, à leurs caractéristiques raciales et religieuses, la démocratie a nécessairement dû faire disparaître les protections dont jouissaient les races nationales, pour elles seules, sur leur territoire.  Cette démocratie, et c’est là son seul caractère d’unité et de permanence, a eu partout pour résultat identique d’émanciper et relever le Juif, qui était en état d’infériorité civile, et de faire perdre aux races nationales ce qui constituait leur droit d’aînesse.

have lost their supremacy through the freedom granted to all foreign religions to become their equals.  The national races have lost their national supremacy through the freedom accorded to all foreign races to become their equals on their soil, with the liberty to share in their rights, their privileges, and their heritage.  The national races have lost financial, industrial and commercial supremacy on their soil through the liberty granted to all foreign elements to come and compete.  By granting official recognition to foreigners, to their racial and religious characteristics, democracy has necessarily caused the protections enjoyed by national races to disappear, for them alone, on their own territory.  This democracy – and in this alone is found its character of oneness and permanency – has everywhere had the identical result of emancipating and raising up the Jew, who was in a state of civil inferiority, and of causing the national races to lose their birthrights.

Corruption, principe
d’autorité

Corruption, principle
of authority

Cette démocratie libérale a substitué à l’autorité réelle, personnelle et responsable des gouvernants, l’irresponsabilité des masses aveugles.  En effet, dans la démocratie, la seule autorité est celle de la majorité du nombre, exprimée par le mode électoral.  Cette majorité est une masse incohérente, anonyme, impersonnelle, ignorante et, à cause de ses vices mêmes, elle est plus tyrannique et plus despotique que n’importe quelle autre.  Comme cette majorité est presque toujours le fruit de la corruption électorale, comme la masse est corruptible, comme l’élu responsable seulement à un groupe anonyme est placé dans des conditions qui le rendent plus corruptible encore, il s’ensuit que la démocratie ne vit que de corruption.  Les conditions mêmes du mode électoral démocratique forment un inexpurgeable foyer de corruption.

This liberal democracy has substituted for the real, personal and accountable authority of governments, the irresponsibility of the blind masses.  In effect, in democracy, the only authority is that of the numerical majority, expressed through the electoral regime.  This majority is an incoherent, anonymous, impersonal and ignorant mass, and because of its own vices, it is more tyrannical and more despotic than any other.  Since this majority is almost always the product of electoral corruption, for the masses are corruptible; since the elected official, accountable only to an anonymous group, is placed in conditions which make him even more corruptible, it follows that democracy can only live on corruption.  The very conditions of the democratic electoral regime form an inexpurgatable hotbed of corruption.

Déséquilibre général
et complet

General and Total
disequilibrium

Cette démocratie libérale, au lieu de guérir les maux dont les peuples souffraient, n’a fait que les aviver.  Les classes riches sont devenues plus riches, et les classes pauvres sont devenues plus pauvres, à cause de la corruptibilité législative démocratique.  Les classes rurales ont été violemment déracinées de leurs domaines, les classes ouvrières ont été plus durement enchaînées.  A cause de son caractère, la démocratie n’a su former que des politiciens professionnels, au lieu de former des hommes d’Etat.  Comme elle est elle-même un déséquilibre, la démocratie a complètement déséquilibré les parties constituantes de la nation, lançant les classes contre les classes,

This liberal democracy, instead of healing the ills suffered by the people, has only intensified them.  The rich classes have become more rich, the poor classes have become more poor, because of corruptible legislative democracy.  The rural classes have been violently uprooted from their fields, the working classes have been more firmly enchained.  Because of its character, democracy has only been able to produce professional politicians, rather than training statesmen.  As it is itself an imbalance, democracy has completely unbalanced the constituent parts of the nation, hurling class against class,

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Fascism or Socialism?

antagonisant les forces différentes, avilissant la justice, ne faisant des lois et des dépenses profitables que pour les puissants du matérialisme.

antagonizing the various powers, degrading justice, making only those laws and expenditures profitable to the powers of materialism.

Une révolte plus accentuée

A more emphatic revolt

Le socialisme, sous un aspect différent, continue le même état de choses.  C’est une révolte plus accentuée, plus violente que la révolte démocratique.  Au lieu de rétablir l’harmonie entre les classes désaxées, le socialisme veut l’abolition de toutes celles qui ne font pas son affaire.  Parce que la religion est une soupape contre les abus, une protection pour toutes les classes, le socialisme veut l’abolition de la religion.  Parce que le nationalisme est une protection pour les nationaux du pays contre l’invasion économique et sociale des étrangers, le socialisme veut l’abolition définitive du nationalisme, et son remplacement par un internationalisme opposé à tout intérêt national.  Parce que le capitalisme a fait souffrir les masses pauvres, le socialisme vent l’abolition du capital.  Parce que le libéralisme a encouragé de graves abus dans l’exercice du droit de propriété, le socialisme veut l’abolition de ce droit.  Parce que la cellule familiale est la plus sûre protection pour les individus et pour les classes, même celles que le socialisme veut voir disparaître, le socialisme vise à la diminution, à la dissolution puis à la disparition de la famille, dont le libéralisme a déjà anéanti de nombreux droits.  Parce que l’inégalité naturelle est la cause même de la multiplicité des classes, le socialisme, qui ne veut qu’une seule classe “standardisée”, proclame l’égalité de tous, non seulement dans leur importance sociale, mais aussi dans le partage des biens (ou plutôt leur privation) et des responsabilités.  Le socialisme ne veut qu’une seule classe :  une classe d’esclaves sans âmes exploités par quelques tyrans prolétariens ; c’est pourquoi il doit éliminer à tout prix, par le massacre ou autrement, tous ceux qui ne sont pas aptes au nivellement.  On conçoit que l’aboutissement final de pareilles doctrines soit le bolchevisme, tel qu’il existe aujourd’hui en Russie soviétique.  Et, comme des gens de formation chrétienne ne peuvent pas être les animateurs de pareilles erreurs politiques, sociales et religieuses, on comprend que, partout, ce soient des Juifs qui dominent le socialisme et le bolchevisme, comme ils dominent les hautes sphères du libéralisme mondial.

Socialism, under a different aspect, continues the same state of things.  It is a more emphatic, more violent revolt than the democratic revolt.  Instead of reestablishing harmony among the dislocated classes, socialism wants to abolish all those it doesn’t want to deal with.  Since religion is a valve against abuse, a protection for all the classes, socialism wants to abolish religion.  Since nationalism is a protection for the nationals of a country, against economic and social invasion by foreigners, socialism wants to permanently abolish nationalism, to be replaced by internationalism opposed to all national interests.  Since capitalism has caused the poor masses to suffer, socialism wants to abolish capital.  Since liberalism has encouraged grave abuses in the exercise of property rights, socialism want to abolish these rights.  Since the family unit is the surest protection for individuals and for classes, even those that socialism wants to see disappear, socialism aims to deplete, dissolve and eliminate the family, numerous of whose rights have already been annihilated by liberalism.  Since natural inequality is the very cause of the multiplicity of classes, socialism, which only wants one “standardized” class, proclaims the equality of all, not only in their social importance, but also in their sharing of goods (or rather their privation) and responsibilities.  Socialism wants only one class:  a class of slaves without souls exploited by a few proletarian tyrants; this is why it must at all costs, by massacre or otherwise, eliminate all those who are not apt to be leveled down.  It is understandable that the final outcome of such doctrines is Bolshevism, as it exists today in Soviet Russia.  And, since people trained as Christians cannot be the animators of such political, social and religious errors, we understand that everywhere, it is Jews who dominate socialism and Bolshevism, as they dominate the upper spheres of world liberalism.

On se demande, parfois, comment il se fait que, mêmes socialistes, des Russes de Russie se laissent conduire par des Juifs ; que des Espagnols d’Espagne, des Français de France, de Mexicains du Mexique, abandonnent leur sort entre des mains juives.  Quand on examine le travail préliminaire ac-

We sometimes ask ourselves, how does it happen that, although socialists, the Russians of Russia allow themselves to be led by Jews; that the Spaniards of Spain, the French of France, and the Mexicans of Mexico, abandon themselves into Jewish hands.  When we examine the preliminary work ac-

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Fascism or Socialism?

compli par la démocratie libérale, on comprend plus clairement cet état de soumission des races nationales et chrétiennes aux chefs internationalistes et anti-chrétiens.

complished through liberal democracy, we understand more clearly this state of submission of the national and Christian races to internationalist and anti-Christian leaders.

La séduction des
paradoxes et
des cris habiles

Seduction of
the paradoxes and
guileful cries

Le Juif, en tant que Juif, n’a aucun droit dans aucun pays ; en tant que judaïsant, il n’a aucun droit au sein du christianisme.  Pour franchir ces barrières autrefois insurmontables, le Juif a dû, par sa démocratie libérale, lancer des cris habiles, des paradoxes séduisants, des négations apparemment inoffensives que tous les partis démocratiques ont exploités contre les intérêts mêmes de tous les pays.  Ces cris habiles furent ceux de “Pas de distinction de race et de religion”.  “Tolérance !”, “Conciliation !”.  Ne nous distinguons plus comme nationaux du pays et adeptes de la religion nationale ; ne nous affirmons plus comme Canadiens et chrétiens.  Ayons la “tolérance” d’entretenir les mêmes sentiments à l’égard de ceux qui ne sont ni Canadiens ni chrétiens, afin de ne pas voir le danger qu’ils peuvent comporter ; cherchons à nous les concilier, cédons à une poignée d’étrangers, pour la bonne entente !  Descendons du trône de nos droits religieux et nationaux, puisque l’étranger n’y peut monter à nos côtés !  Soyons tous en bas, mêlés les uns aux autres !  Car, si nous restons en-haut, forts de nos droits d’aînesse et de notre héritage, comment l’ennemi qui nous envahit pourrait-il nous subjuguer ?  Il faut être avec lui, à son niveau, pour qu’il nous combatte et nous réduise.  Voilà ce que nous a enseigné et demandé la démocratie libérale depuis un siècle ; et nous avons été assez etupides pour écouter cet enseignement, pour nous y soumettre !  On le comprend mieux quand on sait que cette terrible doctrine, qui a livré notre or, notre commerce, nos droits aux Juifs, a été prêchée par les deux grands partis qui avaient charge de nous défendre, mais qui n’ont jamais négligé une occasion de nous trahir chaque fois qu’il s’agissait des étrangers.  Ces partis de liberté nous ont fait déchoir et nous ont enchaînés, au lieu de nous donner la liberté.  Ils ne l’ont donnée qu’aux étrangers, aux non-Canadiens et aux non-chrétiens, qui auparavant n’avaient pas de droits en ce pays.  Et nous avons été subjugués à un tel point, en Canada, par nos politiciens professionnels, nos faux grands hommes, que nous n’avons plus le droit de lever les yeux sur les anti-nationaux et les antichrétiens, ni le droit de nous plaindre de leurs déprédations, au nom de la tolérance, au nom de la “non-distinction de race et de religion”.  L’accueil fait aux deux motions Auger à l’hôtel de ville, les deux tentatives de faire voter le Bill Bercovitch, l’insulte prodiguée par un député juif à notre archevêque lorsqu’il émit son opinion sur le défunt Bill David, les remarques et les suggestions du juge Desaulniers lors de la demande

The Jew, as a Jew, has no rights in any country; as a judaizer, he has no rights in Christendom.  To clear these formerly insurmountable barriers, the Jew, through his liberal democracy, has had to hurl guileful cries, seductive paradoxes, seemingly inoffensive negations that all the democratic parties have exploited against the very interests of all countries.  These cunning cries were:  “No distinction of race and religion”, “Tolerance!”, “Accommodation!”.  We no longer see ourselves as nationals of the country, practitioners of our national religion; we no longer affirm ourselves as Canadians and Christians.  Let us have the “tolerance” to harbor the same sentiments towards those who are neither Canadians nor Christians, so as not to see the danger they may present; let us seek conciliation, let us yield to a handful of foreigners for good relations!  Let us step down from the throne of our religious and national rights, because the foreigner cannot step up to sit at our side!  Let us all be below, all mixed together!  Because if we remain above, strengthened by our rights of seniority and our heritage, how can the enemy that is invading us subjugate us?  We must be with him, at his level, for him to fight us and reduce us.  That is what liberal democracy has taught and demanded of us for a century; and we have been stupid enough to listen to this teaching, and to submit to it!  We understand It better when we know that this terrible doctrine, which has delivered our gold, our trade, our rights to the Jews, was preached by the two great parties responsible for defending us, but which have never neglected an opportunity to betray us to foreigners.  These parties of liberty have thrown us down and chained us, instead of giving us liberty.  They have only given it to foreigners, to non-Canadians and to non-Christians, who previously had no rights in this country.  And we have been subjugated to such a point, in Canada, by our professional politicians, our counterfeit great men, that we no longer have the right to lay eyes on the anti-nationals and the anti-Christians, nor the right, in the name of tolerance, in the name of “no distinction of race and religion”, to complain of their depredations.  The reception given to the two Auger motions at city hall, the two attempts to vote the Bercovitch bill, the insult lavished upon our Archbishop by a Jewish member of the legislature when he issued his opinion on the defunct Bill David, the remarks and suggestions of Judge Desaulniers during the motion

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Fascism or Socialism?

d’injonction contre le “Miroir” et le “Goglu”, les commentaires du premier ministre Taschereau à la suite de ces suggestions, la déclaration traîtresse de Camillien Houde sur les “droits” de la “minorité” juive, voilà autant d’avis, depuis trois ans, de ne pas faire en ce pays de distinctions de races et de religions, et d’avoir à renoncer à nos caractéristiques nationales et religieuses.

for an injunction against the “Miroir” and the “Goglu”, the remarks of premier Taschereau after these suggestions, the traitorous statement of Camillien Houde on the “rights” of the Jewish “minority”, are so many notices, over three years, to make no distinction of race and religion in this country, and to be obliged to renounce our national and religious characteristics.

Le Juif, toujours seul à en
profiter

The Jew, always the only one
to benefit

La meilleure preuve que ces cris d’abdication ont été inventés seulement par les Juifs et pour les Juifs c’est que les autres races ne les font pas entendre, c’est que nos lois font des distinctions contre les Chinoises, contre les Hindous (pourtant sujets britanniques) ; c’est que les lois américaines font des distinctions contre les Asiatiques, entre autres les Japonais si civilisés, mais nulle part on n’en fait contre les Juifs qui sont les plus dangereux, les plus corrupteurs et les plus nuisibles de tous les Asiatiques.

The best proof that these cries of abdication were invented solely by the Jews and for the Jews is that the other races never listen to them, is that our laws make distinctions against the Chinese, against the Hindus (who however are British subjects); is that American laws make distinctions against Asiatics, among others the civilized Japanese, but nowhere are distinctions made against the Jews who are the most dangerous, the most corrupting and harmful of all the Asiatics.

Il est une chose qui devrait facilement ouvrir les yeux des sceptiques.  C’est que partout où il y a des régimes socialistes, ce sont des Juifs qui ont le pouvoir et le contrôle.  Ce n’est pas un effet du hasard.  Et, quand un régime socialiste tombe du pouvoir, c’est en même temps la chute de la puissance juive.  Durant les douze années que dura le régime socialiste-travailliste, en Angleterre, les Juifs avaient le contrôle du cabinet anglais.  Depuis que le socialisme y a été renversé, il n’y a plus un seul Juif dans le cabinet anglais pour connaître les secrets du gouvernement britannique.  Lorsque, par tactique, des Juifs pur-sang ne figurent pas à la tête d’un groupe socialiste, les chefs sont alors des demi-juifs ou des irreligieux anti-nationaux et internationalistes qui ne jurent que par les auteurs juifs, que par leurs maîtres juifs, et qui défendent la juiverie avec plus d’ardeur que les Israélites eux-mêmes.  La permanence de cet état de choses défend de croire que ce sont là de simples coïncidences.

There is one thing that should easily open the eyes of skeptics.  That is that wherever there are socialist regimes, it is the Jews who have the power and control.  This is not by chance.  And, when a socialist regime falls from power, it is at the same time the fall of Jewish power.  For the dozen years that the socialist-labor regime lasted in England, the Jews controlled the English cabinet.  Since socialism was overthrown there, there has not been a single Jew in the English cabinet to know the secrets of the British government. When, by way of tactics, pure-blooded Jews do not appear at the head of a socialist group, the leaders are always half-Jews or irreligious anti-nationals and internationalists who swear by the Jewish authors, by their Jewish masters, and who defend Jewry more fiercely than the Israelites themselves.  The permanence of this state of things precludes believing that these are simple coincidences.

Doctrine de négation

Doctrine of negation

Comme le libéralisme, le socialisme est l’adversaire du nationalisme et du christianisme, l’ennemi du droit de propriété et de l’autorité de la famille, l’ennemi de la loi naturelle en laquelle il refuse de reconnaître l’inégalité des hommes.  C’est le libéralisme plus avancé, plus prononcé, plus rapproché de ses conséquences finales.  Le libéralisme, en favorisant un capitalisme corrompu et qui dévorait tout, a fait disparaître une forte proportion de la propriété individuelle ; le socialisme

Like liberalism, socialism is the adversary of nationalism and of Christianity, the enemy of property rights and of the authority of the family, the enemy of natural law in that it refuses to recognize the inequality of men.  It is liberalism, more advanced, more pronounced, drawn nearer to its final consequences.  Liberalism, in favoring a corrupted capitalism that devours all, has caused a significant proportion of individual private property to vanish; socialism

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Fascisme ou Socialisme ?

Fascism or Socialism?

veut faire disparaître toute propriété.  C’est la doctrine de gauche, la doctrine de négation, qui nie tout ce qui découle des lois naturelles, divines et religieuses.

seeks to eliminate all private property.  This is the doctrine of the left, the doctrine of negation, which denies everything that flows from natural, divine and religious laws.

Il n’y a pas de “socialisme chrétien”

There is no “Christian socialism”

Contrairement à ce que certains illusionnés prétendent, il n’y a ni ne peut y avoir de socialisme chrétien.  Ce mythe a été confondu par la plus haute autorité chrétienne, celle du Vatican, lorsque Pie X a condamné les erreurs du “Sillon”.  D’ailleurs, les grands doctrinaires du socialisme, entre autres Proudhon, Millerand, Jaurès, ont affirmé que toute prétention à un socialisme chrétien est aussi illusoire qu’idiote.  Papes, évêques, rabbins, chefs maçonniques et socialistes admetteni tous qu’il y a une incompatibilité absolue entre le socialisme et le christianisme.  Il y a une sociologie chrétienne, une doctrine sociale chrétienne, mais pas de socialisme chrétien, dam le sens que tous les auteurs donnent au socialisme.  La différence entre le socialisme et la doctrine sociale chrétienne est celle-ci :  le socialisme prône exclusivement l’individualisme et repousse toutes les règles qui s’y opposent ; la doctrine sociale chrétienne combat l’individualisme, force l’individu à appliquer la règle d’aimer son prochain comme soi-même et soutient fermement toutes les lois naturelles, divines et religieuses, parce qu’elles éliminent l’égoïsme par l’enseignement de la solidarité sociale, parce qu’elles condamnent l’individualisme par les ordonnances concernant le prochain.  Pour pouvoir prôner l’individualisme comme le font le libéralisme et le socialisme, depuis 1789, il faut partir du principe que l’âme humaine n’existe pas.  Aussi comprend-on que la doctrine sociale chrétienne ne puisse pas se concilier, en aucune façon, avec ces conceptions purement matérialistes.

Contrary to what some illusionists claim, there is not nor can there be Christian socialism.  This myth was confounded by the highest Christian authority, that of the Vatican, when Pius X condemned the errors of “Sillon”.  Moreover, the great doctrinarians of socialism, among others Proudhon, Millerand, Jaurès, have affirmed that any claim to Christian socialism is as illusory as it is idiotic.  Popes, bishops, rabbis, masonic and socialist leaders all admit that there is an absolute incompatibility between socialism and Christianity.  There is a Christian sociology, a Christian social doctrine, but not Christian socialism, in the sense that all authors give to socialism.  The difference between socialism and Christian social doctrine is this:  socialism exclusively advocates individualism and repels all rules opposed to it; Christian social doctrine fights individualism, forces the individual to apply the rule “love thy neighbor as thyself” and firmly supports all natural, divine and religious laws, because they eliminate egoism by teaching social solidarity, because these condemn individualism through the ordinances concerning the neighbor.  To be able to advocate individualism as the fount of liberalism and socialism since 1789, we must begin from the principle that the human soul does not exist.  We must also understand that Christian social doctrine cannot be reconciled, in any way, with purely materialist conceptions.

Ces considérations nous feront mieux comprendre ce qu’est le fascisme, le but qu’il se propose et la procédure qu’il suit pour y parvenir.

These considerations make us better understand what fascism is, the goal it proposes and the procedure to follow to get there.

Le Fascisme

Attaques contre la charité

Fascism

Attacks against charity

Pourquoi les chefs, de la chrétienté combattent-ils avec tant d’ardeur tout ce que 1e socialisme (héritier du libéralisme) proclame et revendique :  abolition de la famille et des droits patriarchaux, abolition du droit de propriété, internationalisme, assurances sociales, égalitarisme et nivellement des individus, isolement et antagonisme des classes, abolition du capital, séparation de l’Eglise et de l’Etat, élimination de l’au-

Why do the leaders of Christianity so fervently combat all that socialism (liberalism’s heir) proclaims and stands for:  abolition of the family and patriarchal rights, abolition of the right to property, internationalism, social insurance, egalitarianism and leveling of individuals, isolation and antagonism of classes, abolition of capital, separation of Church and State, elimination of

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Fascisme ou Socialisme ?

Fascism or Socialism?

torité religieuse dans la régie de la morale publique ?  Non seulement parce que ces revendications portent atteinte à toute l’économie de droit divin et aux lois naturelles, mais encore parce qu’elles visent directement à la DESTRUCTION DE LA CHARITE, principe et base de tout christianisme.  Faisons disparaître la charité, et le christianisme n’a plus sa raison d’être.

religious authority in the regulation of public morals?  Not only because these assertions offend the whole economy of divine and natural law, but again because they aim directly at the DESTRUCTION OF CHARITY, the basic principle of Christianity.  Let Charity disappear and Christianity no longer has its purpose.

Quand un homme ne se devra plus à sa famille, à son épouse et à ses enfants ; quand il ne pourra plus rien posséder et par conséquent sera dans l’impossibilité d’aider son semblable ; quand les assurances sociales (inspirées par la franc-maçonnerie juive) auront enlevé aux hommes l’obligation individuelle de secourir les pauvres, les miséreux, les malades, les orphelins et les vieillards ; quand l’internationalisme aura fait disparaître toute discipline nationale et toute obligation de dévouement envers ïa grande famille qu’est la patrie ou la race ; quand la haine aveugle des autres classes sera suffisamment inculquée chez les individus pour ne leur permettre aucun bon mouvement envers les membres de ces classes ; quand l’égalité naturelle sera suffisamment admise pour croire qu’il n’y a plus ni supérieurs ni inférieurs auxquels l’homme doit quelque chose ; quand l’autorité religieuse, la seule qui régit la conscience individuelle, ne sera plus là pour garder la conscience vivante et éveillée, eh ! bien, je vous le demande, quelle nécessité, quel besoin y aura-t-il de parler devantage de charité ?  Ce serait alors, si les races chrétiennes refusaient de réagir, le judaïsme talmudique universel que les rabbins nous prédisent tous les jours, puisque le Talmud ne reconnaît que le circoncis judaïsant comme “prochain” du Juif conquérant et, pour obtenir un sort raisonnable du Juif vainqueur, il faudra être devenu son prochain, c’est-à-dire Talmudiste, adepte comme lui de la religion de “son père, qui est Satan”.

When a man no longer owes anything to his family, to his wife and children; when he can no longer own anything and in consequence cannot come to the aid of his neighbor; when social insurance (inspired by Jewish Free-Masonry) has removed from men the individual duty to aid the poor, the miserable, the sick, orphans and the elderly; when internationalism has made all national discipline and all duty of devotion to the larger family which is the fatherland or the race disappear; when the indiscriminate hatred of other classes is sufficiently instilled in individuals to prohibit their good relations with members of these classes; when natural equality is sufficiently admitted so as to believe there is neither superior nor inferior to whom a man owes something; when religious authority, which alone rules the individual conscience, is no longer there to keep conscience alive and awake, oh! well, I ask you, what necessity, what need will there be to speak of Charity?  It would then be, if the Christian races refused to react, universal Talmudic Judaism as the rabbis predict to us every day, since the Talmud recognizes only the circumcised Jew as the “neighbor” of the conquering Jew, and, to obtain a reasonable outcome from the conqueror Jew, one must be his neighbor, meaning a Talmudist, adept, like him, in the religion of “his father, who is Satan”.

La cause véritable de
la montée fasciste

The real cause of
the fascist rise

Le Fascisme, devant le péril imminent, se lève en im­placable ennemi du socialisme et de toutes ses conséquences.  Cependant, il ne faut pas croire que c’est le péril du socialisme qui a causé et occasionné le fascisme.  Il ne faut pas croire, non plus, que c’est l’exaspération de la guerre, comme on l’a dit pour l’Allemagne, qui a provoqué le fascisme, car l’Italie, qui était au nombre des pays vainqueurs, embrassa le fascisme dès le lendemain de la guerre.  Comme le socialisme, le fascisme est né du désastre de la démocratie libérale, de son incapacité de régler les problèmes nationaux et sociaux, du mécontente­ment des foules dont la démocratie a délibérément méconnu les traditions et faussé les aspirations.  Comme le socialisme, le fascisme est une révolte ; mais, alors que le socialisme est

Fascism, in the face of imminent peril, rises the implacable enemy of socialism and of all its consequences.  But, don’t believe the peril of socialism has caused and occasioned fascism.  Don’t believe, either, that it was provoked by the war, as was said for Germany, because Italy, among the victorious countries, embraced fascism the day after the war.  Like socialism, fascism was born of the disaster of liberal democracy, its inability to solve national and social problems, of the discontent of the masses whose traditions democracy deliberately ignored and whose aspirations it falsified.  Like socialism, fascism is a revolt; but, while socialism is

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Fascisme ou Socialisme ?

Fascism or Socialism?

une révolte contre ce qui peut rester d’ordre moral et spirituel, contre les lois naturelles et divines qui n’ont pas encore été répudiées, le fascisme est une révolte contre le désordre social et économique répandu par le libéralisme.  Comme le socialisme, le fascisme exige une autorité ferme et stable, avec cette différence qu’il la veut représentative de toutes les classes au lieu d’une seule, qu’il la veut réelle, personnelle et responsable.  Si le socialisme, doctrine de gauche, est essentiellement négatif, le fascisme, doctrine de droite, est essentiellement positif.  Si le socialisme est destructif et veut faire disparaître les derniers vestiges de la spiritualité, avant de construire son athéisme et son matérialisme, le fascisme comporte aussi un travail de destruction, destruction de tout le désordre accumulé par la démocratie moribonde, avant de construire son régime spiritualiste, qui doit imposer le respect de la charité dans toutes les manifestations sociales de l’individu.

a revolt against what may still remain of the moral and spiritual order, against natural and divine laws that have not yet been repudiated, fascism is a revolt against the social and economic disorder spread by liberalism.  Like socialism, fascism demands firm and stable authority, with the difference that it wants it representative of all classes instead of just one; it wants it real, personal and responsible.  If socialism, the doctrine of the left, is essentially negative, fascism, the doctrine of the right, is essentially positive.  If socialism is destructive and wants to make the last vestiges of spirituality disappear before building its atheism and its materialism, fascism also involves a work of destruction, destruction of all the disorder accumulated by the moribund democracy before building its spiritualist regime, which must impose respect for charity in every social manifestation of the individual.

Idée ni italienne
ni allemande

Idea not Italian
nor German

Fascisme vient du mot italien fascio, faisceau.  A l’origine du fascisme italien, la nouvelle formule était symbolisée par l’ancien faisceau romain, dans lequel on interprétait la hache comme le pouvoir souverain de l’Etat, et les faisceaux liés autour d’elle comme les différentes parties composantes de la nation :  tous ces éléments étant solidaires, responsables et en étroite coopération avec l’autorité suprême de l’Etat.  Le fascisme n’est pas plus une idée italienne ou allemande ou autrichienne ou roumaine que le socialisme n’est une idée française, russe, espagnole ou tchécoslovaque.  Tous deux sont des idées mondiales, des théories politiques adaptables en n’importe quel pays.  Le socialisme est une formule politique, sociale et économique qui rejette tout nationalisme et tout christianisme ; le fascisme est une formule politique, sociale et économique qui s’appuie sur les deux bases du nationalisme et du christianisme.  Le fascisme porte un nom d’origine italienne et, faute d’autre appellation, c’est le nom générique qui semble devoir lui rester, malgré les dénominations particulières qu’il porte suivant les pays.  Quelles que soient les différences secondaires qu’il ait dans ses diverses manifestations, le fascisme est fondamentalement le même partout, comme l’est d’ailleurs le socialisme, avec ses multiples variantes suivant le pays ou la race qui l’adopte.  Quelles sont les doctrines et les applications pratiques du fascisme dans les différentes champs de l’activité humaine ?  C’est la partie la plus intéressante de l’étude que nous faisons ensemble ce soir.

Fascism comes from the Italian word fascio, bundle.  At the origin of Italian fascism, the new formula was symbolized by the ancient Roman bundle, in which the ax was interpreted as the sovereign power of the State, and the rods linked around it as the different parts of the nation:  all these elements being in solidarity, responsible and in close cooperation with the supreme authority of the State.  Fascism is no more an Italian or German or Austrian or Romanian idea than socialism is a French, Russian, Spanish or Czechoslovakian idea.  Both are global ideas, political theories adaptable in any country.  Socialism is a political, social and economic formula that rejects all nationalism and all Christianity.  Fascism is a political, social and economic formula based on the two foundations of nationalism and Christianity.  Fascism has a name Italian in origin and, for lack of any other name, it is the generic name which seems to have stuck, in spite of the particular designations that it carries according to country.  Whatever may be the minor differences in its various manifestations, fascism is fundamentally the same everywhere, as is socialism, with its many variations depending on the country or race that adopts it.  What are the doctrines and practical applications of fascism in the different fields of human activity?  This is the most interesting part of the study we are conducting together tonight.

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